tag:blogger.com,1999:blog-42875422149284149072024-03-13T10:32:25.763-07:00BatotoSenegalLes infos du Senegal ...
<b> Maintenant vous etes au courant ! </b>Batotohttp://www.blogger.com/profile/04366347771437972332noreply@blogger.comBlogger497125tag:blogger.com,1999:blog-4287542214928414907.post-90973979114536928502015-06-07T10:01:00.001-07:002015-06-07T10:01:23.795-07:00Nespresso prend ses quartiers à Dakar<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="http://4.bp.blogspot.com/-_r1V7RRZPJQ/VXR4zWvvJbI/AAAAAAAAPFQ/Uj3CALQ74SU/s1600/0.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="http://4.bp.blogspot.com/-_r1V7RRZPJQ/VXR4zWvvJbI/AAAAAAAAPFQ/Uj3CALQ74SU/s400/0.jpg" width="400" /></a></div>
<div class="textearticle" style="background-color: #f9fafb; color: #222222; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; margin-bottom: 12px; margin-top: 12px; padding: 0px; text-align: justify;">
<span style="color: black; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">(Agence Ecofin) - Après le Ghana, le Maroc et l’Afrique du sud, Nespresso s’invite au Sénégal. La compagnie vient en effet d’ouvrir sa première enseigne à Dakar. Selon Pierre Debayle, directeur régional de <i>Nespresso </i>pour le Moyen-Orient, l’Afrique et les Caraïbes, «<i>L’expansion de Nespresso en Afrique continue avec l’ouverture du Sénégal. Fort de sa culture café et de son ouverture sur le monde, le Sénégal fait partie des pays que nous regardons depuis longtemps</i>.<i>»</i></span></div>
<div class="textearticle" style="background-color: #f9fafb; color: #222222; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; margin-bottom: 12px; margin-top: 12px; padding: 0px; text-align: justify;">
<span style="color: black; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">Grâce à sa boutique, installée sur 60 m2, Nespresso se propose de faire découvrir sa gamme de produits à ses clients potentiels. Qu’il s’agisse de ses dernières machines à café ou de ses 23 Grands Crus qu’il permet à ses clients de déguster dans un espace réservé à cet effet, le Suisse met les petits plats dans les grands pour faire vivre « <i>une expérience unique</i> » au visiteur.</span></div>
<div class="textearticle" style="background-color: #f9fafb; color: #222222; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; margin-bottom: 12px; margin-top: 12px; padding: 0px; text-align: justify;">
<span style="color: black; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">L’an dernier Nespresso avait déjà manifesté son intérêt pour l’Afrique en annonçant un investissement de 12,4 millions d’euros en Ethiopie au Kenya et au Soudan du Sud en faveur des producteurs de café de ces pays. Ce financement s’inscrivait dans le cadre d’une initiative dénommée « The Positive Cup ». On peut cependant regretter que cet amour de l’Afrique ne s’étende pas aux producteurs de Robusta du continent, notamment ceux d’Afrique de l’ouest qui produisent environ 2,5 millions de sacs, ainsi que le soulignent nos consoeurs de<i>Commodafrica</i>.</span></div>
<div class="textearticle" style="background-color: #f9fafb; color: #222222; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; margin-bottom: 12px; margin-top: 12px; padding: 0px; text-align: justify;">
<strong><em><span style="color: black; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">Aaron Akinocho</span></em></strong></div>
<div class="textearticle" style="background-color: #f9fafb; margin-bottom: 12px; margin-top: 12px; padding: 0px; text-align: justify;">
<span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif;"><b><i>agenceecofin.com</i></b></span></div>
Batotohttp://www.blogger.com/profile/04366347771437972332noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4287542214928414907.post-30292977045426391952015-06-07T09:58:00.001-07:002015-06-07T09:58:24.517-07:00Explosion meurtrière à Accra: Macky Sall exprime toute sa compassion et sa solidarité à son homologue John Dramani Mahama<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="http://3.bp.blogspot.com/-2nYxvk0nft8/VXR4KF-hCxI/AAAAAAAAPFE/2gxa_CqvhUQ/s1600/0.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="322" src="http://3.bp.blogspot.com/-2nYxvk0nft8/VXR4KF-hCxI/AAAAAAAAPFE/2gxa_CqvhUQ/s400/0.jpg" width="400" /></a></div>
Suite a l<span style="background-color: white; font-family: Verdana, sans-serif; line-height: 19.5px; text-align: justify;">’explosion d’une station d’essence à Accra, au Ghana, survenue le 4 juin dernier dans laquelle plusieurs personnes ont perdu la vie, le Président de la République Macky Sall, Président de la République du Sénégal et Président en exercice de la CEDEAO, a appelé son homologue ghanéen John Dramani Mahama depuis Séoul où il est en visite officielle en ce moment, pour lui exprimer toute sa compassion et sa solidarité et lui présenter ses plus sincères condoléances. Le Président Macky Sall a également dépêché auprès du Président Dramani une délégation conduite par Madame Awa Marie Coll Seck, Ministre de la Santé et de l’Action Sociale, pour apporter le soutien solidaire du Sénégal au peuple ghanéen en cette douloureuse épreuve.</span><span style="background-color: white; font-family: Verdana, sans-serif; line-height: 19.5px; text-align: justify;"> </span><br />
<span style="background-color: white; font-family: Verdana, sans-serif; line-height: 19.5px; text-align: justify;"><br /></span>
<span style="background-color: white; line-height: 19.5px; text-align: justify;"><span style="font-family: Verdana, sans-serif;">leral.net</span></span>Batotohttp://www.blogger.com/profile/04366347771437972332noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4287542214928414907.post-33235033547825255612015-06-07T09:54:00.004-07:002015-06-07T09:54:54.211-07:00Karim Wade: le Sénégal réagit aux accusations de détention arbitraire<div class="intro" style="background-color: white; color: #141414; float: left; font-family: Roboto, Helvetica, Arial, sans-serif; line-height: 17px; width: 620px;">
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="http://3.bp.blogspot.com/-6pfWB2vQKug/VXR3VUJ0exI/AAAAAAAAPE8/m49m9uDBhVU/s1600/0.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="225" src="http://3.bp.blogspot.com/-6pfWB2vQKug/VXR3VUJ0exI/AAAAAAAAPE8/m49m9uDBhVU/s400/0.jpg" width="400" /></a></div>
<div style="color: #3a3939; line-height: 25px; margin-bottom: 15px; margin-top: 15px;">
Le gouvernement sénégalais réagit à l'avis émis par Groupe de travail sur la détention arbitraire, un groupe mandaté par le Conseil des droits de l'homme de l'ONU. Ce groupe de travail estime dans son rapport que Karim Wade, condamné à 6 ans de prison pour enrichissement illicite, fait l'objet d'une détention arbitraire, qu'il doit être libéré et que des réparations doivent lui être octroyées.</div>
</div>
<div itemprop="articleBody" style="background-color: white; color: #141414; font-family: Roboto, Helvetica, Arial, sans-serif; line-height: 17px;">
<div style="color: #3a3939; line-height: 23px; margin-bottom: 15px; margin-top: 15px;">
<a href="http://www.rfi.fr/afrique/20150602-senegal-karim-wade-groupe-onu-juge-arbitraire-detention-/" style="-webkit-transition: color 0.25s ease 0s; color: #e20000; outline: 0px; transition: color 0.25s ease 0s;" target="_blank"><strong>Le groupe de travail des Nations unies </strong></a>sur la détention arbitraire a pris cette décision le 7 mai, mais elle n'a été signifiée que lundi soir officiellement aux avocats de la défense de l'ancien ministre condamné à six ans de prison ferme en mars dernier pour enrichissement illicite. Les experts onusiens estiment que Karim Wade a été jugé par une juridiction illégitime pour l'affaire qui le concernait et que son procès n'a pas été équitable.</div>
<div style="color: #3a3939; line-height: 23px; margin-bottom: 15px; margin-top: 30px;">
Pour Oumar Youm, ministre porte-parole du gouvernement,<a href="http://www.rfi.fr/afrique/20150324-senegal-karim-abdoulaye-wade-personnalite-ambigue-divise-proces-pds-macky-sall-presidentielle/" style="-webkit-transition: color 0.25s ease 0s; color: #e20000; outline: 0px; transition: color 0.25s ease 0s;" target="_blank"><strong> Karim Wade</strong></a> a été jugé dans les règles, et le groupe de travail a manqué à son devoir en refusant les arguments du gouvernement : « <em>Ce groupe de travail a fait un travail bâclé, partiel, qui ne repose pas sur le principe fondamental qui régit ce groupe de travail, le principe du contradictoire. Je ne vois pas comment on peut sortir un avis sur la base d’une saisine et des observations unilatérales qui n’ont pas été soumises à l’appréciation du Sénégal, qui n’ont pas permis au gouvernement du Sénégal de donner sa version des faits. </em>»</div>
<div style="color: #3a3939; line-height: 23px; margin-bottom: 15px; margin-top: 30px;">
Le rapport se base sur les arguments de la défense puisque, selon le groupe de travail, le gouvernement sénégalais a envoyé sa réponse hors délais. Pour le ministre, cette raison ne tient pas vraiment : « <em>Il a été imparti un délai de deux mois pour répondre. Normalement, le Sénégal aurait dû donner sa position un samedi. Tout le monde sait que l’ONU ne travaille pas le samedi, le Sénégal ne travaille pas le samedi. Donc les décisions ont été envoyées le lundi. Sur le plan procédural, cette présomption de conclusion n’est pas fondée. </em>»</div>
<div style="color: #3a3939; line-height: 23px; margin-bottom: 15px; margin-top: 30px;">
Satisfaction en revanche dans le clan Wade après ce rapport du groupe de travail de l’ONU. Le Parti démocratique sénégalais (PDS), le parti de l'ancien président Abdoulaye Wade, se félicite et accueille « <em>sans surprise la décision de l'ONU qui qualifie la détention de Karim Wade d'arbitraire</em> ».</div>
<div style="color: #3a3939; line-height: 23px; margin-bottom: 15px; margin-top: 30px;">
Le groupe de travail des Nations unies a demandé au Sénégal de prendre les mesures nécessaires pour remédier au préjudice subi, en prévoyant une réparation intégrale. Une réparation nécessaire pour le PDS, selon Babacar Gaye, son porte-parole : «<em> Le gouvernement du Sénégal ne devrait pas se prévaloir de sa propre certitude en essayant de se cacher derrière la souveraineté de l’Etat. Le gouvernement du Sénégal doit rembourser intégralement toutes les charges que <a href="http://www.rfi.fr/afrique/2min/20150323-senegal-karim-wade-condamne-six-ans-prison-ferme-enrichissement-illicte-presidentielle/" style="-webkit-transition: color 0.25s ease 0s; color: #e20000; outline: 0px; transition: color 0.25s ease 0s;" target="_blank"><strong>Karim Wade</strong></a> a dû supporter pour se défendre. </em>»</div>
<div style="color: #3a3939; line-height: 23px; margin-bottom: 15px; margin-top: 30px;">
rfi.fr</div>
</div>
Batotohttp://www.blogger.com/profile/04366347771437972332noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4287542214928414907.post-75584267329842010722015-05-06T09:39:00.003-07:002015-05-06T09:39:50.873-07:00Pourquoi le Sénégal envoie-t-il plus de 2 000 soldats auprès de l'Arabie saoudite ?<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="http://1.bp.blogspot.com/-bWEO5979d2c/VUpDzd6ZtdI/AAAAAAAAOlU/RkWw47-vVwM/s1600/1.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="http://1.bp.blogspot.com/-bWEO5979d2c/VUpDzd6ZtdI/AAAAAAAAOlU/RkWw47-vVwM/s1600/1.jpg" height="266" width="400" /></a></div>
<div class="chapo" style="background-color: white; border: 0px; font-family: Tahoma, Arial, Helvetica, sans-serif; font-weight: 700; line-height: 18px; margin-bottom: 20px; outline: 0px; padding: 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;">
Le Sénégal va envoyer 2 100 soldats en Arabie saoudite pour rejoindre la coalition internationale formée par Riyad. L'annonce, faite lundi, est loin de faire l'unanimité dans le pays.</div>
<div style="background-color: white; border: 0px; font-family: Tahoma, Arial, Helvetica, sans-serif; line-height: 18px; margin-bottom: 10px; outline: 0px; padding: 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;">
Le Sénégal rejoint la coalition menée par Riyad au Yémen, qui inclut 10 pays dont, sur le continent, le Maroc, l'Égypte ou le Soudan. Le ministre sénégalais des Affaires étrangères, Mankeur Ndiaye, a annoncé lundi 4 mai <a href="http://af.reuters.com/article/worldNews/idAFKBN0NP1NH20150504" style="border: 0px; color: #c10418; font-family: inherit; font-style: inherit; font-weight: inherit; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px; text-decoration: none; vertical-align: baseline;">l’envoi de 2 100 soldats en Arabie saoudite</a>. Objectif affiché : lutter contre les rebelles chiites installés au Yémen et contre toute infiltration terroriste dans le pays.</div>
<div style="background-color: white; border: 0px; font-family: Tahoma, Arial, Helvetica, sans-serif; line-height: 18px; margin-bottom: 10px; outline: 0px; padding: 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;">
Le président sénégalais, Macky Sall, "a décidé de répondre favorablement à la demande [de Riyad] en déployant un contingent de 2 100 hommes sur la terre sainte d'Arabie saoudite", a déclaré le chef de la diplomatie sénégalaise. Une décision qui ne fait pas l'unanimité, y compris parmi les députés de la majorité. Retour en trois points sur ce nouveau déploiement militaire.</div>
<div style="background-color: white; border: 0px; font-family: Tahoma, Arial, Helvetica, sans-serif; line-height: 18px; margin-bottom: 10px; outline: 0px; padding: 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;">
<strong>Quelle sera la mission des troupes sénégalaises ?</strong></div>
<div style="background-color: white; border: 0px; font-family: Tahoma, Arial, Helvetica, sans-serif; line-height: 18px; margin-bottom: 10px; outline: 0px; padding: 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;">
Les 2 100 soldats déployés en Arabie Saoudite auront pour objectif de protéger les deux grands lieux sains de l'islam dans le pays. "La coalition internationale vise à assurer la sécurité des lieux saints de l'islam à Médine et à La Mecque", a précisé le ministre sénégalais des Affaires étrangères, sans donner davantage de détail.</div>
<div style="background-color: white; border: 0px; font-family: Tahoma, Arial, Helvetica, sans-serif; line-height: 18px; margin-bottom: 10px; outline: 0px; padding: 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;">
Ce déploiement avait été demandé par l'Arabie saoudite le mois dernier, lors d'une visite de Macky Sall à Riyad. À son retour, le président sénégalais avait fait savoir qu'il réfléchissait au moyen d'accéder à la requête saoudienne.</div>
<div style="background-color: white; border: 0px; font-family: Tahoma, Arial, Helvetica, sans-serif; line-height: 18px; margin-bottom: 10px; outline: 0px; padding: 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;">
<strong>Pourquoi le Sénégal s'engage-t-il aussi frontalement ?</strong></div>
<div style="background-color: white; border: 0px; font-family: Tahoma, Arial, Helvetica, sans-serif; line-height: 18px; margin-bottom: 10px; outline: 0px; padding: 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;">
Si l'engagement du Sénégal auprès de son allié sunnite n'est pas une surprise, la forme qu'il revet laisse certains observateurs dubitatifs. Parmi les pays engagés, le Sénégal est en effet l'un des rares (avec l'Égypte) à envoyer un contingent de cette envergure sur place. D'autant que Macky Sall ne s'est pas montré aussi va-t-en guerre sur le continent. Absent de l'offensive africaine contre Boko Haram, le Sénégal avait en revanche <a href="http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAWEB20130524120057/onu-s-n-gal-mali-mauritanieterrorisme-la-mauritanie-et-le-s-n-gal-renforcent-leur-coop-ration.html" style="border: 0px; color: #c10418; font-family: inherit; font-style: inherit; font-weight: inherit; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px; text-decoration: none; vertical-align: baseline;">déployé quelque 800 hommes au Mali</a>. Bien loin, donc, des quelque 2 000 soldats envoyés en Arabie Saoudite.</div>
<div style="background-color: white; border: 0px; font-family: Tahoma, Arial, Helvetica, sans-serif; line-height: 18px; margin-bottom: 10px; outline: 0px; padding: 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;">
Ce qui fait dire à certains analystes que ce geste ne s'explique pas seulement par le biais de l'alliance stratégique, mais trouve aussi des explications économiques. "L'avantage le plus évident du Sénégal à s'engager militairement aux côtés de l'Arabie saoudite serait un rapprochement économique et politique entre les deux pays, mais aussi certainement des paiements comptant de la part de l'Arabie saoudite", explique ainsi Andrew Lebovich, spécialiste de l'Afrique de l'Ouest,<a href="http://www.washingtonpost.com/blogs/worldviews/wp/2015/05/05/why-senegal-is-sending-troops-to-help-saudi-arabia-in-yemen/?postshare=2991430827367815" style="border: 0px; color: #c10418; font-family: inherit; font-style: inherit; font-weight: inherit; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px; text-decoration: none; vertical-align: baseline;">interrogé par le <em>Washington Post</em></a>.</div>
<div style="background-color: white; border: 0px; font-family: Tahoma, Arial, Helvetica, sans-serif; line-height: 18px; margin-bottom: 10px; outline: 0px; padding: 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;">
<strong>Comment l'engagement militaire du Sénégal a-t-il été accueilli ?</strong></div>
<div style="background-color: white; border: 0px; font-family: Tahoma, Arial, Helvetica, sans-serif; line-height: 18px; margin-bottom: 10px; outline: 0px; padding: 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;">
La classe politique a réagi avec fraîcheur à l'annonce de Mankeur Ndiaye, d'autant que la mesure n'a pas été soumise au débat à l'Assemblée nationale. Certains députés ont vertement critiqué la décision de Macky Sall, y compris au sein du camp présidentiel.</div>
<div style="background-color: white; border: 0px; font-family: Tahoma, Arial, Helvetica, sans-serif; line-height: 18px; margin-bottom: 10px; outline: 0px; padding: 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;">
Le député Cheikh Oumar Sy <a href="http://www.leral.net/Envoi-de-Jambars-au-Yemen-Le-depute-Oumar-Sy-crie-sa-desapprobation_a143477.html" style="border: 0px; color: #c10418; font-family: inherit; font-style: inherit; font-weight: inherit; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px; text-decoration: none; vertical-align: baseline;">s'est ainsi ouvertement opposé</a> au déploiement des troupes sénégalaises dans la péninsule arabique, jugeant <a href="http://www.rfi.fr/afrique/20150505-senegal-envoie-2100-soldats-arabie-saoudite-coalition-yemen-iran-jihadisme/" style="border: 0px; color: #c10418; font-family: inherit; font-style: inherit; font-weight: inherit; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px; text-decoration: none; vertical-align: baseline;">au micro de RFI</a> que le Sénégal n'avait pas de rôle à jouer au Yémen. Avant d'avancer l'hypothèse de contreparties financières promises par Riyad : "Si l’Arabie saoudite a promis d’investir au Sénégal contre notre soutien militaire, c’est extrêmement dangereux. Nous ne devons pas échanger la vie de nos soldats pour des pétrodollars."</div>
<div style="background-color: white; border: 0px; margin-bottom: 10px; outline: 0px; padding: 0px; text-align: justify; vertical-align: baseline;">
<span style="font-family: Tahoma, Arial, Helvetica, sans-serif;"><span style="line-height: 18px;">jeuneafrique.com</span></span></div>
Batotohttp://www.blogger.com/profile/04366347771437972332noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4287542214928414907.post-80821779759119599002015-05-06T09:37:00.003-07:002015-05-06T09:37:50.882-07:00Une deuxième découverte de gisement de pétrole au Sénégal<div class="field field-name-field-photo field-type-image field-label-hidden" style="background-color: white; border: 0px; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-stretch: inherit; line-height: 19.5px; margin: 46px 0px 0px; outline: 0px; padding: 0px; text-align: center; vertical-align: baseline;">
<div class="field-items" style="border-image-outset: initial; border-image-repeat: initial; border-image-slice: initial; border-image-source: initial; border-image-width: initial; border: 0px; font-family: inherit; font-stretch: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
<div class="field-item even" style="border-image-outset: initial; border-image-repeat: initial; border-image-slice: initial; border-image-source: initial; border-image-width: initial; border: 0px; font-family: inherit; font-stretch: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
<img alt="" height="300" src="http://fr.africatime.com/sites/default/files/styles/large/public/photo-articles/2015/mai/petrole_off.jpg?itok=AerGOCKx" style="border: 0px; font-family: inherit; font-stretch: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; margin: 0px 0px 15px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: bottom;" width="480" /></div>
</div>
</div>
<div class="field field-name-field-video-multiformat-article field-type-file field-label-hidden" style="background-color: white; border: 0px; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-stretch: inherit; line-height: 19.5px; margin: 0px 0px 15px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
<div class="field-items" style="border: 0px; font-family: inherit; font-stretch: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
</div>
</div>
<div class="field field-name-field-legende-photo field-type-text field-label-hidden" style="background-color: white; border: 0px; font-family: arial; font-stretch: inherit; line-height: 1.3; margin: -5px 0px 20px; outline: 0px; padding: 0px; text-align: center; vertical-align: baseline;">
<div class="field-items" style="border: 0px; font-family: inherit; font-stretch: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
<div class="field-item even" style="border: 0px; font-family: inherit; font-stretch: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
Kosmos Energy, aurait découvert au Sénégal un gisement pétrolier.</div>
</div>
</div>
<div class="field field-name-body field-type-text-with-summary field-label-hidden" style="background-color: white; border: 0px; font-family: arial; font-stretch: inherit; line-height: inherit; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
<div class="field-items" style="border-image-outset: initial; border-image-repeat: initial; border-image-slice: initial; border-image-source: initial; border-image-width: initial; border: 0px; font-family: inherit; font-stretch: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
<div class="field-item even" style="border-image-outset: initial; border-image-repeat: initial; border-image-slice: initial; border-image-source: initial; border-image-width: initial; border: 0px; font-family: inherit; font-stretch: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
<div style="border-image-outset: initial; border-image-repeat: initial; border-image-slice: initial; border-image-source: initial; border-image-width: initial; border: 0px; font-family: inherit; font-stretch: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; margin-bottom: 20px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
La société américaine, Kosmos Energy, aurait découvert au Sénégal un gisement pétrolier qui serait le plus important aussi bien aux larges du Sénégal que dans l’ensemble des côtes de l’Afrique de l’Ouest, a rapporté samedi l’agenceafrique.</div>
<div style="border-image-outset: initial; border-image-repeat: initial; border-image-slice: initial; border-image-source: initial; border-image-width: initial; border: 0px; font-family: inherit; font-stretch: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; margin-bottom: 20px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
Selon Kosmos Energy, ce gisement s’étendrait quasiment de Kayar à Saint-Louis à la limite de la frontière avec la Mauritanie et présenterait des estimations plus importantes que les réserves du Nigéria.</div>
<div style="border-image-outset: initial; border-image-repeat: initial; border-image-slice: initial; border-image-source: initial; border-image-width: initial; border: 0px; font-family: inherit; font-stretch: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; margin-bottom: 20px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
Six mois avant, l'entreprise pétrolière britannique Cairn Energy avait annoncé la découverte de pétrole au Sénégal à 1 427 mètres de profondeur sur le puits FAN-1 situé sur le bloc Sangomar profond ("Sangomar deep"), à 100 kilomètres des côtes sénégalaises, selon l'Agence de Presse Sénégalaise.</div>
<div style="border-image-outset: initial; border-image-repeat: initial; border-image-slice: initial; border-image-source: initial; border-image-width: initial; border: 0px; font-family: inherit; font-stretch: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; margin-bottom: 20px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
Les premières estimations des réserves de ce puits vont de 250 millions de barils de pétrole (avec une probabilité de 90 %) à 2,5 milliards de barils (avec une probabilité de 10 %).</div>
<div style="border-image-outset: initial; border-image-repeat: initial; border-image-slice: initial; border-image-source: initial; border-image-width: initial; border: 0px; font-family: inherit; font-stretch: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; margin-bottom: 20px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
<strong style="border: 0px; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; font-stretch: inherit; line-height: 19.5px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">Alakhbar</strong></div>
</div>
</div>
</div>
Batotohttp://www.blogger.com/profile/04366347771437972332noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4287542214928414907.post-10855435628596856722015-05-06T09:36:00.002-07:002015-05-06T09:36:16.703-07:00Pétrole et mines : Macky Sall veut mettre à jour les législations<div class="field field-name-field-photo field-type-image field-label-hidden" style="background-color: white; border: 0px; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-stretch: inherit; line-height: 19.5px; margin: 46px 0px 0px; outline: 0px; padding: 0px; text-align: center; vertical-align: baseline;">
<div class="field-items" style="border-image-outset: initial; border-image-repeat: initial; border-image-slice: initial; border-image-source: initial; border-image-width: initial; border: 0px; font-family: inherit; font-stretch: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
<div class="field-item even" style="border-image-outset: initial; border-image-repeat: initial; border-image-slice: initial; border-image-source: initial; border-image-width: initial; border: 0px; font-family: inherit; font-stretch: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
<img alt="" height="325" src="http://fr.africatime.com/sites/default/files/styles/large/public/photo-articles/2015/mai/macky_sall_annonce.jpg?itok=6aAO9YTw" style="border: 0px; font-family: inherit; font-stretch: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; margin: 0px 0px 15px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: bottom;" width="480" /></div>
</div>
</div>
<div class="field field-name-field-video-multiformat-article field-type-file field-label-hidden" style="background-color: white; border: 0px; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-stretch: inherit; line-height: 19.5px; margin: 0px 0px 15px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
<div class="field-items" style="border: 0px; font-family: inherit; font-stretch: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
</div>
</div>
<div class="field field-name-body field-type-text-with-summary field-label-hidden" style="background-color: white; border: 0px; font-family: arial; font-stretch: inherit; line-height: inherit; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
<div class="field-items" style="border-image-outset: initial; border-image-repeat: initial; border-image-slice: initial; border-image-source: initial; border-image-width: initial; border: 0px; font-family: inherit; font-stretch: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
<div class="field-item even" style="border-image-outset: initial; border-image-repeat: initial; border-image-slice: initial; border-image-source: initial; border-image-width: initial; border: 0px; font-family: inherit; font-stretch: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
<div style="border-image-outset: initial; border-image-repeat: initial; border-image-slice: initial; border-image-source: initial; border-image-width: initial; border: 0px; font-family: inherit; font-stretch: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; margin-bottom: 20px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
Le président Macky Sall a promis, mardi à Dakar, d’engager l’Etat et les acteurs concernés dans la mise à jour des législations pétrolière et minière du Sénégal, afin de mieux prendre en compte les intérêts du Sénégal et de mieux vendre la destination Sénégal.</div>
<div style="border-image-outset: initial; border-image-repeat: initial; border-image-slice: initial; border-image-source: initial; border-image-width: initial; border: 0px; font-family: inherit; font-stretch: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; margin-bottom: 20px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
‘’Nous devons procéder à une mise à jour de nos législations pétrolières et minières pour une meilleure prise en compte des intérêts du Sénégal et de mieux vendre la destination Sénégal’’, a souligné Macky Sall.</div>
<div style="border-image-outset: initial; border-image-repeat: initial; border-image-slice: initial; border-image-source: initial; border-image-width: initial; border: 0px; font-family: inherit; font-stretch: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; margin-bottom: 20px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
Il présidait l’ouverture d’un forum sur le financement des projets de type partenariats public-privé à Dakar, sous le thème : ’’Les partenariats public-privé : colonne porteuse du Plan Sénégal émergent’’.</div>
<div style="border-image-outset: initial; border-image-repeat: initial; border-image-slice: initial; border-image-source: initial; border-image-width: initial; border: 0px; font-family: inherit; font-stretch: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; margin-bottom: 20px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
Le chef de l’Etat a cité le secteur minier et pétrolier comme un exemple d’un partenariat public-privé. ‘’L’Etat est souverain certes. Il va faire des politiques de prospection et de détection, mais c’est aux compagnies privées de venir investir dans ces secteurs’’, a-t-il dit.</div>
<div style="border-image-outset: initial; border-image-repeat: initial; border-image-slice: initial; border-image-source: initial; border-image-width: initial; border: 0px; font-family: inherit; font-stretch: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; margin-bottom: 20px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
Il a rappelé que le code minier et le code pétrolier sont en train de faire l’objet d’une révision »pour déterminer les perspectives qui s’offrent à notre pays mais pour pouvoir épouser la dynamique de transparence qui doit prévaloir dans ce secteur ».</div>
<div style="border-image-outset: initial; border-image-repeat: initial; border-image-slice: initial; border-image-source: initial; border-image-width: initial; border: 0px; font-family: inherit; font-stretch: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; margin-bottom: 20px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
Ont pris part à cet évènement des investisseurs internationaux, le secteur privé sénégalais, les spécialistes des PPP, des hauts responsables d’institutions financières, des donneurs d’ordre, des partenaires au développement et des donateurs ainsi que des sociétés de services.</div>
<div style="border-image-outset: initial; border-image-repeat: initial; border-image-slice: initial; border-image-source: initial; border-image-width: initial; border: 0px; font-family: inherit; font-stretch: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; margin-bottom: 20px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
Cette rencontre, qui cible ‘’le potentiel des secteurs socioéconomiques du Sénégal’’, va proposer pendant trois jours des sessions plénières, des ateliers techniques et des expositions autour des projets PPP et ses outils les plus actuels de financement de projets.</div>
<div style="border-image-outset: initial; border-image-repeat: initial; border-image-slice: initial; border-image-source: initial; border-image-width: initial; border: 0px; font-family: inherit; font-stretch: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; margin-bottom: 20px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
Il est prévu ‘’des expositions ainsi que des excursions sur le site de projets PPP déjà réalisés’’.</div>
<div style="border-image-outset: initial; border-image-repeat: initial; border-image-slice: initial; border-image-source: initial; border-image-width: initial; border: 0px; font-family: inherit; font-stretch: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; margin-bottom: 20px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
<strong style="border: 0px; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; font-stretch: inherit; line-height: 19.5px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">Enquête</strong></div>
</div>
</div>
</div>
Batotohttp://www.blogger.com/profile/04366347771437972332noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4287542214928414907.post-69228483192386450562015-05-06T09:35:00.001-07:002015-05-06T09:35:11.630-07:00Une centaine de classes de l’élémentaire passeront au bilinguisme en 2015-2016<div class="field field-name-field-photo field-type-image field-label-hidden" style="background-color: white; border: 0px; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-stretch: inherit; line-height: 19.5px; margin: 46px 0px 0px; outline: 0px; padding: 0px; text-align: center; vertical-align: baseline;">
<div class="field-items" style="border-image-outset: initial; border-image-repeat: initial; border-image-slice: initial; border-image-source: initial; border-image-width: initial; border: 0px; font-family: inherit; font-stretch: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
<div class="field-item even" style="border-image-outset: initial; border-image-repeat: initial; border-image-slice: initial; border-image-source: initial; border-image-width: initial; border: 0px; font-family: inherit; font-stretch: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
<img alt="" height="360" src="http://fr.africatime.com/sites/default/files/styles/large/public/photo-articles/2015/mai/eleve_classe.jpg?itok=zrRVD5Hm" style="border: 0px; font-family: inherit; font-stretch: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; margin: 0px 0px 15px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: bottom;" width="480" /></div>
</div>
</div>
<div class="field field-name-field-video-multiformat-article field-type-file field-label-hidden" style="background-color: white; border: 0px; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-stretch: inherit; line-height: 19.5px; margin: 0px 0px 15px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
<div class="field-items" style="border: 0px; font-family: inherit; font-stretch: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
</div>
</div>
<div class="field field-name-body field-type-text-with-summary field-label-hidden" style="background-color: white; border: 0px; font-family: arial; font-stretch: inherit; line-height: inherit; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
<div class="field-items" style="border-image-outset: initial; border-image-repeat: initial; border-image-slice: initial; border-image-source: initial; border-image-width: initial; border: 0px; font-family: inherit; font-stretch: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
<div class="field-item even" style="border-image-outset: initial; border-image-repeat: initial; border-image-slice: initial; border-image-source: initial; border-image-width: initial; border: 0px; font-family: inherit; font-stretch: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
<div style="border-image-outset: initial; border-image-repeat: initial; border-image-slice: initial; border-image-source: initial; border-image-width: initial; border: 0px; font-family: inherit; font-stretch: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; margin-bottom: 20px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
Des langues nationales seront enseignées l’année prochaine (2015-2016), dans 101 classes des régions de Dakar, Kaolack et Saint-Louis, a annoncé l’Association pour la recherche, l’éducation et le développement (ARED), mardi, à Dakar.</div>
<div style="border-image-outset: initial; border-image-repeat: initial; border-image-slice: initial; border-image-source: initial; border-image-width: initial; border: 0px; font-family: inherit; font-stretch: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; margin-bottom: 20px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
Ces classes bilingues – le français et une langue nationale – s’ajouteront aux 208 classes ayant permis d’expérimenter l’enseignement des langues nationales depuis 2009, à l’école primaire, à l’initiative de l’ARED, a indiqué le directeur de cette ONG, Mamadou Ly.<br />Les 101 classes à ouvrir dans les trois régions citées recevront quelque 10.500 élèves, a-t-il précisé lors du lancement d’un nouveau partenariat de l’ARED avec la Fondation Dubaï Cares.</div>
<div style="border-image-outset: initial; border-image-repeat: initial; border-image-slice: initial; border-image-source: initial; border-image-width: initial; border: 0px; font-family: inherit; font-stretch: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; margin-bottom: 20px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
Cette initiative va promouvoir l’usage des langues nationales dans les quatre premières années d’apprentissage scolaire de l’enfant, selon M. Ly.</div>
<div style="border-image-outset: initial; border-image-repeat: initial; border-image-slice: initial; border-image-source: initial; border-image-width: initial; border: 0px; font-family: inherit; font-stretch: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; margin-bottom: 20px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
«C’est un modèle d’enseignement qui utilise la première langue de l’enfant et le français, pour améliorer ses compétences en lecture, en mathématiques et en éducation à la science et à la vie sociale, au CI, CP, CE1 et CE2″, a-t-il expliqué.</div>
<div style="border-image-outset: initial; border-image-repeat: initial; border-image-slice: initial; border-image-source: initial; border-image-width: initial; border: 0px; font-family: inherit; font-stretch: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; margin-bottom: 20px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
La Fondation Dubai Cares va préparer 300 enseignants et 24 inspecteurs de l’éducation et de la Formation à l’enseignement des langues nationales ciblées, selon le directeur de l’ARED.</div>
<div style="border-image-outset: initial; border-image-repeat: initial; border-image-slice: initial; border-image-source: initial; border-image-width: initial; border: 0px; font-family: inherit; font-stretch: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; margin-bottom: 20px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
Tariq Al Gurg, le directeur de cette fondation, a expliqué lors du lancement du nouveau partenariat avec l’ARED que cette initiative va contribuer au «développement des langues nationales (…) et à une meilleure éducation des enfants».</div>
<div style="border-image-outset: initial; border-image-repeat: initial; border-image-slice: initial; border-image-source: initial; border-image-width: initial; border: 0px; font-family: inherit; font-stretch: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; margin-bottom: 20px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
Les langues nationales choisies seront enseignées pendant trois ans dans les 101 classes prévues, a indiqué M. Gurg, souhaitant la vulgarisation de l’initiative après cette période d’expérimentation.</div>
<div style="border-image-outset: initial; border-image-repeat: initial; border-image-slice: initial; border-image-source: initial; border-image-width: initial; border: 0px; font-family: inherit; font-stretch: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; margin-bottom: 20px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
Le ministre de l’Education nationale, Serigne Mbaye Thiam, estime que la démarche de l’ARED et de la Fondation Dubai Cares va permettre d’»améliorer la qualité des enseignements, car les enfants vont apprendre dans leur langue maternelle, celle de leur milieu», en plus du français.</div>
<div style="border-image-outset: initial; border-image-repeat: initial; border-image-slice: initial; border-image-source: initial; border-image-width: initial; border: 0px; font-family: inherit; font-stretch: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; margin-bottom: 20px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
«Lorsque les conclusions des Assises de l’éducation seront validées par le chef de l’Etat, le gouvernement aura un programme assez structuré pour l’enseignement des langues nationales à l’école», a-t-il assuré.</div>
<div style="border-image-outset: initial; border-image-repeat: initial; border-image-slice: initial; border-image-source: initial; border-image-width: initial; border: 0px; font-family: inherit; font-stretch: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; margin-bottom: 20px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
<strong style="border: 0px; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; font-stretch: inherit; line-height: 19.5px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">SeneNews</strong></div>
</div>
</div>
</div>
Batotohttp://www.blogger.com/profile/04366347771437972332noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4287542214928414907.post-20720987914340327602015-05-06T09:33:00.003-07:002015-05-06T09:33:45.177-07:00Cause de la mortalite maternelle et infantile seuls 59% des accouchements sont assistés par un personnel médical qualifié<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="http://4.bp.blogspot.com/-DcVUsA_Zea8/VUpCYqRmZnI/AAAAAAAAOlI/5I7iHJ6EEtc/s1600/1.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="http://4.bp.blogspot.com/-DcVUsA_Zea8/VUpCYqRmZnI/AAAAAAAAOlI/5I7iHJ6EEtc/s1600/1.jpg" height="227" width="400" /></a></div>
<div style="background-color: white; border: 0px; font-family: arial; font-stretch: inherit; line-height: 21px; margin-bottom: 20px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
Seuls 59% des accouchements sont assistés par un personnel médical qualifié. C’est ce qui est ressorti de la journée internationale des sages-femmes, célébrée hier, mardi 5 mai à Dakar. Ce déficit est lié selon la présidente de l’association nationale des sages-femmes d’état du Sénégal, Mariéme Fall à plusieurs facteurs dont le déficit de personnel et le manque de formation des agents de santé.</div>
<div style="background-color: white; border: 0px; font-family: arial; font-stretch: inherit; line-height: 21px; margin-bottom: 20px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
Seuls 59% des accouchements sont assistés par un personnel médical qualifié dont les 42% par des sages-femmes. Cette assistance est deux fois plus importante en milieu urbain estimée à 80% contre 44% en milieu rural.</div>
<div style="background-color: white; border: 0px; font-family: arial; font-stretch: inherit; line-height: 21px; margin-bottom: 20px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
Le manque d’assistance est à l’origine du taux élevé de mortalité maternelle et néonatale particulièrement dans les zones reculées comme Ziguinchor (73%), Matam (46%), Tambacounda (35%) et Kédougou (30, 4%). La présidente de l’association nationale des sages-femmes d’état du Sénégal, Mariéme Fall, estime ainsi que seuls 2 accouchements sur 1000 naissances vivantes sont assistés par des sages-femmes. Ce manque d’assistance est dû à l’insuffisance des sages-femmes qui ne sont que 1716 agents. Mariéme Fall trouve de ce fait, qu’il faut au moins 4000 nouvelles recrues pour que le Sénégal puisse tendre vers la recommandation de l’Organisation mondiale de la santé (Oms) qui est de 6 sages femmes pour 1000 naissances vivantes.</div>
<div style="background-color: white; border: 0px; font-family: arial; font-stretch: inherit; line-height: 21px; margin-bottom: 20px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
Evoquant toujours, le manque d’assistance des femmes à l’accouchement, la présidente de l’association nationale des sages-femmes du Sénégal déplore l’inégale répartition de la ressource humaine entre les centres urbains et la campagne. Ainsi, pour palier à ce problème, Mariéme Fall trouve que, le ministère de la santé devrait disposer d’un plan de mobilité du personnel. Ainsi trouve t-elle, les sages-femmes qui seront affectées dans des zones reculées pourront être remplacées au bout de 5 ans d’exercice.</div>
<div style="background-color: white; border: 0px; font-family: arial; font-stretch: inherit; line-height: 21px; margin-bottom: 20px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
La présidente de l’association nationale des sages-femmes du Sénégal trouve aussi que les sages-femmes non désireuses de se rendre dans leurs lieux de travail doivent être sanctionnées par le retrait de leurs diplômes. En vue de favoriser le déploiement des sages-femmes dans les régions, il faut aussi que les affectations arbitraires soient arrêtées, a-t-elle indiqué. Le déficit de formation des sages-femmes est aussi un fait qu’a déploré, Mariéme Fall. A son avis, il y’a une anarchie dans la formation et la plupart des enseignants n’ont pas la qualification requise et les structures de sanitaires sont minimes par rapport aux nombres d’élèves à prendre en charge.</div>
<div style="background-color: white; border: 0px; font-family: arial; font-stretch: inherit; line-height: 21px; margin-bottom: 20px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
Manque de professionnalisme des sages-femmes, cause des poursuites judiciaires</div>
<div style="background-color: white; border: 0px; font-family: arial; font-stretch: inherit; line-height: 21px; margin-bottom: 20px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
Les nombreuses plaintes dont font l’objet des sages-femmes suite à des manquements dans l’exercice de leur profession résultent d’abus et d’incompétence des agents concernés. De l’avis de la présidente de l’association nationale, des sages-femmes d’état du Sénégal, Mariéme Fall, si les sages-femmes suivent la norme indiquée par rapport à la consultation prénatale, et au suivi de l’accouchement, il n’y aurait pas de problèmes. La présidente de l’association nationale des sages-femmes d’état du Sénégal a aussi déploré la qualité de l’accueil dans les hôpitaux. Une défiance qui selon elle, entraine plusieurs responsabilités. Par ailleurs elle a aussi tenu à fustiger l’absence de communication entre les sages-femmes et leurs patientes au moment de l’accouchement.</div>
<div style="background-color: white; border: 0px; font-family: arial; font-stretch: inherit; line-height: 21px; margin-bottom: 20px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
Fatou NDIAYE</div>
<div style="background-color: white; border: 0px; font-family: arial; font-stretch: inherit; line-height: 21px; margin-bottom: 20px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
<strong style="border: 0px; font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; font-stretch: inherit; line-height: 19.5px; margin: 0px; outline: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">Sud Quotidien</strong><span style="font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 19.5px;"> </span></div>
Batotohttp://www.blogger.com/profile/04366347771437972332noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4287542214928414907.post-35705405897612519402015-05-05T08:11:00.003-07:002015-05-05T08:11:27.829-07:00Sénégal Airlines, une compagnie au bord du gouffre...<h2 class="soustitre" style="color: #666666; font-family: Lato, Arial, sans-serif; font-stretch: normal; margin: 0px; padding: 0px;">
<span style="font-size: small;">Les taxes aériennes devraient prochainement diminuer</span></h2>
<div>
<div class="chapeau" style="color: #333333; font-family: Arial, sans-serif; font-stretch: normal; font-weight: bold;">
<h3 class="access" style="font-stretch: normal; margin: 0px; padding: 0px;">
<span style="font-size: small;">Malgré la suppression du visa et la promesse d'une baisse des taxes aériennes, le Sénégal peine à retrouver sa place sur l'échiquier touristique mondial. Les Français sont aujourd'hui très réticents à se rendre dans un pays qu'ils associent à tort à certaines destinations africaines déconseillées par le Quai d'Orsay. Une désaffection qui fragilise la compagnie Sénégal Airlines et qui désespère les tour-opérateurs encore présents sur place.</span></h3>
</div>
<div class="entry-content instapaper_body">
<div class="para_11973081 resize" id="para_1">
<div class="photo shadow top" style="float: none; margin-bottom: 10px; padding-bottom: 10px; position: relative; text-align: center;">
<span style="font-family: Arial, sans-serif;"><span style="border-color: initial; border-image-outset: initial; border-image-repeat: initial; border-image-slice: initial; border-image-source: initial; border-image-width: initial; border-width: initial;"><img alt="Le Sénégal peine à séduire les Français. Mais certains tour-opérateurs continuent de programmer la destination. DR-JDL" src="http://www.tourmag.com/photo/art/default/7735127-11973081.jpg?v=1430312050" style="border: none; margin: 0px; max-width: 606px; padding: 0px; vertical-align: top;" title="Le Sénégal peine à séduire les Français. Mais certains tour-opérateurs continuent de programmer la destination. DR-JDL" width="606" /></span></span><div class="legende legende_11973081" style="font-family: Arial, sans-serif; font-stretch: normal; font-style: italic; font-weight: bold; padding-top: 5px;">
Le Sénégal peine à séduire les Français. Mais certains tour-opérateurs continuent de programmer la destination. DR-JDL</div>
<div class="legende legende_11973081" style="font-family: Arial, sans-serif; font-stretch: normal; font-style: italic; font-weight: bold; padding-top: 5px; text-align: left;">
<span style="background-color: white; font-style: normal; font-weight: normal; text-align: justify;"> d'être une destination touristique en Afrique par les temps qui courent. </span><br style="background-color: white; font-style: normal; font-weight: normal; margin: 0px; padding: 0px; text-align: justify;" /><span style="background-color: white; font-style: normal; font-weight: normal; text-align: justify;">Le Sénégal, autrefois très prisé par les Français, est aujourd'hui victime d'un amalgame avec ses voisins, la Mauritanie et le Mali, qui effraient les voyageurs. </span><br style="background-color: white; font-style: normal; font-weight: normal; margin: 0px; padding: 0px; text-align: justify;" /><span style="background-color: white; font-style: normal; font-weight: normal; text-align: justify;">Sans oublier l'épidémie du virus Ebola, dont </span><a class="liens" href="http://www.tourmag.com/Le-Senegal-victime-collaterale-de-l-Ebola-sur-le-marche-francais_a70066.html" style="-webkit-transition: all 0.2s linear; background-color: white; color: #f5990e; font-stretch: normal; font-style: normal; font-weight: normal; transition: all 0.2s linear;" target="_blank">le Sénégal a été injustement victime,</a><span style="background-color: white; font-style: normal; font-weight: normal; text-align: justify;"> malgré l'absence de cas déclarés. </span><br style="background-color: white; font-style: normal; font-weight: normal; margin: 0px; padding: 0px; text-align: justify;" /><span style="background-color: white; font-style: normal; font-weight: normal; text-align: justify;">Une situation difficile dont souffre notamment Sénégal Airlines, aujourd'hui au bord du gouffre. </span><br style="background-color: white; font-style: normal; font-weight: normal; margin: 0px; padding: 0px; text-align: justify;" /><a class="liens" href="http://www.rfi.fr/afrique/20150415-inquiets-avenir-employes-senegal-airlines-protestent-sit-in-dakar/" style="-webkit-transition: all 0.2s linear; background-color: white; color: #f5990e; font-stretch: normal; font-style: normal; font-weight: normal; transition: all 0.2s linear;" target="_blank">La compagnie nationale </a><span style="background-color: white; font-style: normal; font-weight: normal; text-align: justify;">accuse une </span><b style="background-color: white; font-style: normal; text-align: justify;">dette de 75 millions d'euros et cinq mois de retard sur le paiement de ses 229 employés.</b><span style="background-color: white; font-style: normal; font-weight: normal; text-align: justify;"> </span><br style="background-color: white; font-style: normal; font-weight: normal; margin: 0px; padding: 0px; text-align: justify;" /><span style="background-color: white; font-style: normal; font-weight: normal; text-align: justify;">Mayoro Racine, son directeur général avait confirmé en début d’année au journal</span><a class="liens" href="http://economie.jeuneafrique.com/regions/afrique-subsaharienne/24063-mayoro-racine-confirme-etre-en-negociation-avec-les-emirats-arabes-unis.html" style="-webkit-transition: all 0.2s linear; background-color: white; color: #f5990e; font-stretch: normal; font-style: normal; font-weight: normal; transition: all 0.2s linear;" target="_blank">Jeune Afrique</a><span style="background-color: white; font-style: normal; font-weight: normal; text-align: justify;"> être en discussion avec </span><b style="background-color: white; font-style: normal; text-align: justify;">une compagnie du Golfe</b><span style="background-color: white; font-style: normal; font-weight: normal; text-align: justify;"> dans le cadre d'un projet de recapitalisation partielle. </span><br style="background-color: white; font-style: normal; font-weight: normal; margin: 0px; padding: 0px; text-align: justify;" /><span style="background-color: white; font-style: normal; font-weight: normal; text-align: justify;">Face à une situation économique aussi instable, </span><b style="background-color: white; font-style: normal; text-align: justify;">Sénégal Airlines a été exclue du BSP France</b><span style="background-color: white; font-style: normal; font-weight: normal; text-align: justify;"> il y a quelques jours. </span><br style="background-color: white; font-style: normal; font-weight: normal; margin: 0px; padding: 0px; text-align: justify;" /><span style="background-color: white; font-style: normal; font-weight: normal; text-align: justify;">Elle reste toutefois en </span><b style="background-color: white; font-style: normal; text-align: justify;">partage de codes avec la compagnie Corsair.</b><span style="background-color: white; font-style: normal; font-weight: normal; text-align: justify;"> Un partenariat débuté en novembre 2012, juste au moment où Corsair avait été choisie par le gouvernement pour desservir Dakar en vol régulier. </span><br style="background-color: white; font-style: normal; font-weight: normal; margin: 0px; padding: 0px; text-align: justify;" /><span style="background-color: white; font-style: normal; font-weight: normal; text-align: justify;">Elle se posait alors en challenger face à Air France et assure avoir fait </span><b style="background-color: white; font-style: normal; text-align: justify;">baisser le prix des billets d’avion de 33%</b><span style="background-color: white; font-style: normal; font-weight: normal; text-align: justify;"> en deux ans. Des tarifs qui lui ont permis de séduire </span><b style="background-color: white; font-style: normal; text-align: justify;">35 000 passagers entre octobre 2014 et mars 2015.</b></div>
<div class="legende legende_11973081" style="font-stretch: normal; padding-top: 5px; text-align: left;">
<h2 class="access" style="background-color: white; clear: both; color: #f5990e; font-family: Lato, Arial, sans-serif; font-stretch: normal; font-style: normal; font-weight: bold; margin: 0px; padding: 0px;">
<span style="font-size: small;">Certains tour-opérateurs continuent de croire en la destination</span></h2>
<div style="font-family: Arial, sans-serif; font-style: italic; font-weight: bold;">
<span style="background-color: white; font-style: normal; font-weight: normal; text-align: justify;">Mais Air France n’a pas dit son dernier mot. </span><br style="background-color: white; font-style: normal; font-weight: normal; margin: 0px; padding: 0px; text-align: justify;" /><span style="background-color: white; font-style: normal; font-weight: normal; text-align: justify;">La compagnie a </span><b style="background-color: white; font-style: normal; text-align: justify;">augmenté ses capacités de 10%</b><span style="background-color: white; font-style: normal; font-weight: normal; text-align: justify;"> cette année, en positionnant un Boeing 777-300 mieux adapté aux attentes du marché VFR (visiting friends and relatives). </span><br style="background-color: white; font-style: normal; font-weight: normal; margin: 0px; padding: 0px; text-align: justify;" /><span style="background-color: white; font-style: normal; font-weight: normal; text-align: justify;">En 2014, la compagnie a transporté </span><b style="background-color: white; font-style: normal; text-align: justify;">200 000 passagers,</b><span style="background-color: white; font-style: normal; font-weight: normal; text-align: justify;"> dont la moitié de Français et 30% de Sénégalais. </span><br style="background-color: white; font-style: normal; font-weight: normal; margin: 0px; padding: 0px; text-align: justify;" /><span style="background-color: white; font-style: normal; font-weight: normal; text-align: justify;">Elle possède un contrat avec Karavel ainsi que des allotements avec Look Voyages. Des engagements qui ont été réduits suite à la désaffection de la destination. </span><br style="background-color: white; font-style: normal; font-weight: normal; margin: 0px; padding: 0px; text-align: justify;" /><span style="background-color: white; font-weight: normal; margin: 0px; padding: 0px; text-align: justify;">"Je ne vois aucun signe de redressement"</span><span style="background-color: white; font-style: normal; font-weight: normal; text-align: justify;">déplore Patrice Caradec, le PDG du groupe Transat France. </span><br style="background-color: white; font-style: normal; font-weight: normal; margin: 0px; padding: 0px; text-align: justify;" /><span style="background-color: white; font-style: normal; font-weight: normal; text-align: justify;">Les réservations sur son Lookéa historique, </span><b style="background-color: white; font-style: normal; text-align: justify;">le Club Royal Baobab, sont en chute de 40%.</b><span style="background-color: white; font-style: normal; font-weight: normal; text-align: justify;"> Et les premières commandes pour l’hiver prochain, notamment sur les groupes, ne s’annoncent pas meilleures. </span><br style="background-color: white; font-style: normal; font-weight: normal; margin: 0px; padding: 0px; text-align: justify;" /><span style="background-color: white; font-weight: normal; margin: 0px; padding: 0px; text-align: justify;">"L’hôtel est rempli à moitié par les clients fidèles, mais ce n’est pas suffisant. Malgré des promotions à moins de 1 000 euros la semaine, nous n’arrivons pas à remplir</span><span style="background-color: white; font-style: normal; font-weight: normal; text-align: justify;">" se désole Patrice Caradec. </span><br style="background-color: white; font-style: normal; font-weight: normal; margin: 0px; padding: 0px; text-align: justify;" /><span style="background-color: white; font-style: normal; font-weight: normal; text-align: justify;">Cette morosité n’entame pas l’enthousiasme de </span><b style="background-color: white; font-style: normal; text-align: justify;">Voyamar</b><span style="background-color: white; font-style: normal; font-weight: normal; text-align: justify;">, présent dans le pays depuis 20 ans. </span><br style="background-color: white; font-style: normal; font-weight: normal; margin: 0px; padding: 0px; text-align: justify;" /><span style="background-color: white; font-style: normal; font-weight: normal; text-align: justify;">Même s’il n’a fait partir que </span><b style="background-color: white; font-style: normal; text-align: justify;">2 200 clients</b><span style="background-color: white; font-style: normal; font-weight: normal; text-align: justify;"> l’an passé, trois fois moins qu’à l’ordinaire, Aurélien Aufort, le directeur général adjoint, insiste pour le programmer dans sa brochure. </span><br style="background-color: white; font-style: normal; font-weight: normal; margin: 0px; padding: 0px; text-align: justify;" /><span style="background-color: white; font-style: normal; font-weight: normal; text-align: justify;">Il compte même </span><b style="background-color: white; font-style: normal; text-align: justify;">augmenter ses engagements de 15% l’an prochain,</b><span style="background-color: white; font-style: normal; font-weight: normal; text-align: justify;"> mais uniquement si le gouvernement tient sa promesse </span><b style="background-color: white; font-style: normal; text-align: justify;">de baisser les taxes aériennes.</b><span style="background-color: white; font-style: normal; font-weight: normal; text-align: justify;"> </span><br style="background-color: white; font-style: normal; font-weight: normal; margin: 0px; padding: 0px; text-align: justify;" /><span style="background-color: white; font-style: normal; font-weight: normal; text-align: justify;">Celui-ci avait déjà fait un premier pas en faveur du secteur touristique en </span><a class="liens" href="http://www.tourmag.com/Senegal-le-visa-touristique-supprime-a-partir-du-1er-mai-2015_a73246.html" style="-webkit-transition: all 0.2s linear; background-color: white; color: #f5990e; font-stretch: normal; font-style: normal; font-weight: normal; transition: all 0.2s linear;" target="_blank">supprimant le visa début avril.</a><span style="background-color: white; font-style: normal; font-weight: normal; text-align: justify;"> </span><br style="background-color: white; font-style: normal; font-weight: normal; margin: 0px; padding: 0px; text-align: justify;" /><span style="background-color: white; font-style: normal; font-weight: normal; text-align: justify;">Malheureusement, il en faudra bien plus pour convaincre les voyageurs de retourner dans cette région à fort potentiel, aujourd'hui délaissée.</span></div>
<div>
<div class="entry-content instapaper_body" style="font-family: Arial, sans-serif; font-style: normal; font-weight: normal;">
<div class="intertitre before_ resize" id="intertitre_3" style="clear: both; color: #f5990e; font-family: Lato, Arial, sans-serif; font-stretch: normal; font-weight: bold; margin-bottom: 10px;">
<h2 class="access" style="clear: both; font-stretch: normal; margin: 0px; padding: 0px;">
<span style="font-size: small;">Le domaine de Nianing a fermé ses portes</span></h2>
</div>
<div class="para_11978561 resize" id="para_3" style="background-color: #eeeeee; border: 1px solid rgb(0, 0, 0); max-width: 594px; padding: 6px;">
<div class="texte" style="font-stretch: normal; margin: 0px; text-align: justify;">
<div class="access firstletter" style="font-stretch: normal; margin: 0px;">
La désaffection des touristes français a fait sa première victime : le <b>domaine de Nianing a fermé ses portes. </b><br style="margin: 0px; padding: 0px;" /><br style="margin: 0px; padding: 0px;" />L'hôtel avait prévu d'écourter sa saison en stoppant son activité fin mars dernier, comme nous l'expliquions <a class="liens" href="http://www.tourmag.com/Senegal-faute-de-clients-a-cause-d-Ebola-le-Domaine-de-Nianing-menace-de-fermeture_a71369.html" style="-webkit-transition: all 0.2s linear; color: #f5990e; font-stretch: normal; text-align: left; transition: all 0.2s linear;" target="_blank">dans nos colonnes.</a> <br style="margin: 0px; padding: 0px;" /><br style="margin: 0px; padding: 0px;" />Mais face aux difficultés financières et à la baisse du taux de remplissage, il a fallu se rendre à l'évidence. <br style="margin: 0px; padding: 0px;" /><br style="margin: 0px; padding: 0px;" />L'ensemble des employés a été licencié et le domaine est en vente. Il n'est pas certain que le repreneur en fasse un hôtel, mais plutôt des villas. <br style="margin: 0px; padding: 0px;" /><br style="margin: 0px; padding: 0px;" />Situé près de M'Bour, sur la Petite Côte, à 90 km au sud de Dakar, il travaillait notamment avec Nouvelles Frontières, Thomas Cook ou encore Salaün Holidays.</div>
</div>
<div class="clear" style="clear: both; margin: 0px; padding: 0px;">
</div>
</div>
</div>
<br class="texte clear" style="clear: both; font-stretch: normal; font-style: normal; font-weight: normal; margin: 0px; padding: 0px; text-align: justify;" /><div class="auteur" style="font-stretch: normal; text-align: right;">
<div class="access" style="color: #666666; font-family: Arial, sans-serif; font-stretch: normal; font-style: normal; font-weight: bold;">
Rédigé par Laury-Anne CHOLEZ</div>
<div class="access" style="font-stretch: normal;">
<span style="color: #666666; font-family: Arial, sans-serif;"><b>tourmag.com</b></span></div>
</div>
</div>
</div>
</div>
</div>
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</div>
Batotohttp://www.blogger.com/profile/04366347771437972332noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4287542214928414907.post-81768684507700226182015-05-04T04:23:00.001-07:002015-05-04T04:23:06.969-07:00Sénégal: Karim Wade reste candidat du PDS à la présidentielle<div class="intro" style="background-color: white; color: #141414; float: left; font-family: Roboto, Helvetica, Arial, sans-serif; line-height: 17px; width: 620px;">
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="http://4.bp.blogspot.com/-b8rcs74TOAA/VUdWjkDgfRI/AAAAAAAAOe8/3lUrYCY5F2U/s1600/1.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="360" src="http://4.bp.blogspot.com/-b8rcs74TOAA/VUdWjkDgfRI/AAAAAAAAOe8/3lUrYCY5F2U/s640/1.jpg" width="640" /></a></div>
<div style="color: #3a3939; line-height: 25px; margin-bottom: 15px; margin-top: 15px;">
<span style="font-size: large;">Abdoulaye Wade restera à la tête de son parti le Parti démocratique sénégalais jusqu'à la prochaine présidentielle. Le congrès qui devait se tenir en août pour renouveler la direction du parti est annulé. La décision a été annoncée jeudi 30 avril par le comité directeur. Le PDS réaffirme également que Karim Wade est et restera son candidat.</span></div>
</div>
<div itemprop="articleBody" style="background-color: white; color: #141414; font-family: Roboto, Helvetica, Arial, sans-serif; line-height: 17px;">
<div style="color: #3a3939; line-height: 23px; margin-bottom: 15px; margin-top: 15px;">
</div>
<div class="em-audio orientation-center" style="border-image-outset: initial; border-image-repeat: initial; border-image-slice: initial; border-image-source: initial; border-image-width: initial; border: 1px solid rgb(210, 209, 209); clear: both; display: table; margin: 5px auto; width: 620px;">
<div class="quote-em em-block orientation-center" style="clear: both; margin: 0px;">
<div class="quote-img" style="float: left; margin-right: 10px;">
<span style="font-size: large;"><img src="http://www.rfi.fr/bundles/aefhermesrfi/img/bg_blockquote.png?version=20150422121018" style="border: 0px; max-width: 620px; vertical-align: middle; width: 30px;" /></span></div>
<div class="em-content-item quote-text" style="background-color: #e8e7e7; font-style: italic; line-height: 20px; overflow: hidden; padding: 11px; width: auto;">
<span style="font-size: large;">La politique, en général, c’est une affaire de famille et de dynasties. Aux Etats-Unis, c’est pareil : le clan Kennedy existe, le clan Bush existe. Au Sénégal, le clan Gaye existe. Le clan Wade, pourquoi pas ?</span></div>
</div>
</div>
</div>
Batotohttp://www.blogger.com/profile/04366347771437972332noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4287542214928414907.post-60971514045316006522015-05-04T04:21:00.000-07:002015-05-04T04:21:15.740-07:00Extraction d’or et découverte de pétrole : Le Sénégal sera-t-il en mesure de bien gérer ses ressources? (par Makhtar Gueye)<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="http://2.bp.blogspot.com/-OHjSWa67QPU/VUdWBx9VjEI/AAAAAAAAOe0/6bBBCGk7zAo/s1600/1.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="225" src="http://2.bp.blogspot.com/-OHjSWa67QPU/VUdWBx9VjEI/AAAAAAAAOe0/6bBBCGk7zAo/s400/1.jpg" width="400" /></a></div>
<h2 style="background: rgb(255, 255, 255); border: 0px; clear: both; font-family: DroidSansRegular, Verdana, sans-serif; font-stretch: normal; font-weight: normal; line-height: 1.5em; margin: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
<span style="font-size: small;">Décidément le Sénégal dispose de ressources fort recherchées par les grandes multinationales. De l’extraction de l’or à Kédougou à la découverte de pétrole au large des côtes du Sénégal, nos autorités sauront-ils démontrer un leadership dans la gestion ou l’octroi des contrats d’exploitation ?</span></h2>
<div style="background: rgb(255, 255, 255); border: 0px; font-family: DroidSansRegular, Verdana, sans-serif; font-stretch: normal; line-height: 20px; margin-bottom: 24px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
Tout le monde se rappelle des contrats de pêches signés avec l’Espagne qui ont fait longtemps pleurer les mareyeurs sénégalais. Pour rappel notre pays avait signé un accord de pêche avec l’Espagne, les navires de pêche espagnoles ramassaient en une journée ce qu’un pêcheur sénégalais serait capable de pêcher en 55 ans. Résultats, les ressources de la mer deviennent de plus en plus rares à l’intérieur du pays.</div>
<div style="background: rgb(255, 255, 255); border: 0px; font-family: DroidSansRegular, Verdana, sans-serif; font-stretch: normal; line-height: 20px; margin-bottom: 24px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
Cet enseignement doit nécessairement nous servir de leçon, surtout pour les générations futures. On comprend que nous n’avons pas de grosses entreprises permettant d’exploiter à 100% ces ressources, le problème n’est pas là. Il s’agit plutôt de bien étudier les contrats souvent écrits en partie (en petit caractère) par les multinationales et ce, dans le but préserver nos ressources. Les entreprises étrangères paient des taxes et emploient des sénégalais, c’est vrai, mais paient-elles la vraie valeur dans l’exploitation massive de nos ressources? Mr Aziz DG de Teranga Gold Operations a récemment confié dans une interview avec Financialafrik que « plus de 12 millions d’onces d’or ont été découvertes au Sénégal au cours des 10 dernières années et il y a quatre nouvelles mines d’or potentielles qui sont à considérer.» Pourtant on sait très bien Kédougou reste une région pauvre qui n’a pas pu bénéficier des retombées économiques du secteur minier. Cette société canadienne installée à Kédougou s’en tire gros et déclare sa vision officielle « Uniquement l’or et Exclusivement au Sénégal » ajoute Mr Sy.</div>
<div style="background: rgb(255, 255, 255); border: 0px; font-family: DroidSansRegular, Verdana, sans-serif; font-stretch: normal; line-height: 20px; margin-bottom: 24px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
Au mois de novembre 2014, la société Cairn Energy a annoncé une deuxième découverte de pétrole au large des côtes du Sénégal un mois à peine après avoir annoncé la découverte de pétrole sur le puits FAN-1. Les réserves récupérables de ce puits sont estimées à 150 millions de barils. « Il s’agit d’une découverte pétrolière importante pour Cairn et pour le Sénégal, a déclaré Simon Thomson, directeur général du groupe britannique. Sur la base des estimations préliminaires, il s’agit d’une découverte à potentiel commercial qui ouvre un nouveau bassin sur les rives de l’Atlantique ». C’est une première au Sénégal, donc pas nécessairement assez d’expérience dans la gestion et l’octroi des licences d’exploitation. Espérons qu’une bonne analyse sera faite sans problème pour le démarrage des activités d’exploitation. “En matière d’exploitation pétrolière, il y a les contrats de partage de production et les contrats de concession. Nous avons choisi les contrats de partage de production”. Avec ce genre de contrat, on connaît à peu près les parts de chaque entité (…). Dès lors, il n’y a pas de problème”, a expliqué le président Sall. En tout cas, on ne veut plus revivre les cauchemars dans les licences de pêche avec l’Europe.</div>
<div style="background: rgb(255, 255, 255); border: 0px; font-family: DroidSansRegular, Verdana, sans-serif; font-stretch: normal; line-height: 20px; margin-bottom: 24px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
Du Mali au Burkina Faso, de la Côte d’ivoire au Sénégal, on voit de plus en plus de grandes multinationales démontrant un intérêt pour les ressources en Afrique de l’ouest. Cependant, nos États doivent peser les pour et les contre des décisions à prendre dans le but de ne pas sacrifier les nouvelles générations.</div>
<div style="background: rgb(255, 255, 255); border: 0px; font-family: DroidSansRegular, Verdana, sans-serif; font-stretch: normal; line-height: 20px; margin-bottom: 24px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
<strong style="background-attachment: initial; background-clip: initial; background-color: transparent; background-image: initial; background-origin: initial; background-position: initial; background-repeat: initial; background-size: initial; border-image-outset: initial; border-image-repeat: initial; border-image-slice: initial; border-image-source: initial; border-image-width: initial; border: 0px; margin: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">Makhtar Gueye<br />SenEcoPlus</strong></div>
<div style="background: rgb(255, 255, 255); border: 0px; font-stretch: normal; margin-bottom: 24px; padding: 0px; vertical-align: baseline;">
<span style="background-attachment: initial; background-clip: initial; background-color: transparent; background-image: initial; background-origin: initial; background-position: initial; background-repeat: initial; background-size: initial; border-image-outset: initial; border-image-repeat: initial; border-image-slice: initial; border-image-source: initial; border-image-width: initial; border: 0px; line-height: 20px; margin: 0px; padding: 0px; vertical-align: baseline;"><span style="font-family: DroidSansRegular, Verdana, sans-serif;"><b>senenews.com/</b></span></span></div>
Batotohttp://www.blogger.com/profile/04366347771437972332noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4287542214928414907.post-23374825863835276552015-05-04T04:17:00.003-07:002015-05-04T04:17:42.258-07:00Droits de l’homme : le Sénégal épinglé par l’Union africaine<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="http://2.bp.blogspot.com/-3mCgJ0qBfgs/VUdVT9BSPOI/AAAAAAAAOes/iOX52nbdKzc/s1600/1.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="266" src="http://2.bp.blogspot.com/-3mCgJ0qBfgs/VUdVT9BSPOI/AAAAAAAAOes/iOX52nbdKzc/s400/1.jpg" width="400" /></a></div>
<div style="box-sizing: border-box; font-family: helvetica, arial, freeSans, sans-serif; line-height: 21px;">
L’affaire Karim Wade s’est invitée mercredi 27 avril dans les débats de la Commission africaine des droits de l’homme et des peuples (CADHP), dont la 56e session se déroule jusqu’au 10 mai en Gambie.</div>
<div style="box-sizing: border-box; font-family: helvetica, arial, freeSans, sans-serif; line-height: 21px;">
Les experts de la CADHP se sont dits surpris de n’avoir vu mentionné nulle part dans le rapport du Sénégal, le contentieux qui a abouti à la condamnation du fils de l’ex-président Abdoulaye Wade à six ans de prison pour enrichissement illicite.</div>
<div style="box-sizing: border-box; font-family: helvetica, arial, freeSans, sans-serif; line-height: 21px;">
<em style="box-sizing: border-box;">« On nous signale que le procès de Karim Wade ne respecterait pas l’équité procédurale et que la CREI est illégale. Nous voulons des précisions sur ces questions »,</em> a indiqué un des commissaires de la CADHP.</div>
<div style="box-sizing: border-box; font-family: helvetica, arial, freeSans, sans-serif; line-height: 21px;">
Mais pour les experts réunis à Banjul, l’affaire Karim Wade n’est pas la seule omission du rapport présenté par le Sénégal. La Commission africaine des droits de l’homme et des peuples évoque aussi ce qu’elle considère comme des arretations politiques, et regrette la récurrence de l’usage des articles 80 et 189 du code pénal sénégalais qui condamnent les « outrages au chef de l’Etat ».</div>
<div style="box-sizing: border-box; font-family: helvetica, arial, freeSans, sans-serif; line-height: 21px;">
<em style="box-sizing: border-box;">« Le Sénégal s’était engagé à abroger ces lois et à dépénaliser les délits de diffamation, de diffusion de fausses nouvelles et les délits de presse. De plus, le Sénégal n’a toujours pas voté la loi type sur le droit à l’information adoptée par la CADHP »,</em> a rappelé Me Tlakula, un autre membre de la Commission.</div>
<div style="box-sizing: border-box; font-family: helvetica, arial, freeSans, sans-serif; line-height: 21px;">
Pour leur défense, les autorités sénégalaises ont insisté sur les avancées en matière de transparence dans la gouvernance et en matière de parité et en ce qui concerne la répression des abus sexuels. Autant d’avancées reconnues par la Commission.</div>
<span style="box-sizing: border-box; font-family: helvetica, arial, freeSans, sans-serif; line-height: 21px;"><br style="box-sizing: border-box;" />lemonde.fr</span>Batotohttp://www.blogger.com/profile/04366347771437972332noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4287542214928414907.post-11837309458795953342013-09-24T12:28:00.003-07:002013-09-24T12:28:49.639-07:00LES BRAMES OU MANCAGNES DU SÉNÉGAL ET DE LA GUINÉE-BISSAU<iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="344" src="//www.youtube.com/embed/ar3-mKEwGOo" width="459"></iframe>Batotohttp://www.blogger.com/profile/04366347771437972332noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-4287542214928414907.post-17687991877745977622013-09-24T12:28:00.001-07:002013-09-24T12:28:15.758-07:00BASKET BAAL SENEGAL 102 VS 22 ALGERIE LE 24/09/13<iframe allowfullscreen="" frameborder="0" height="344" src="//www.youtube.com/embed/sFuja-PXJrA" width="459"></iframe>Batotohttp://www.blogger.com/profile/04366347771437972332noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4287542214928414907.post-32929216359430792842013-05-21T14:37:00.003-07:002013-05-21T14:40:22.163-07:00Le Sénégal, première étape de la tournée d'Obama <strong><em><span style="color: #0b5394; font-size: large;">Le président des Etats-Unis d'Amérique Barack Obama entame à partir du 26 juin une tournée africaine qui va démarrer Sénégal, a annoncé la Maison Blanche lundi dans un communiqué. Pour sa grande première tournée africaine depuis 2008, Barack Obama se rendra, en compagnie de son épouse, successivement au Sénégal, en Afrique du Sud et en Tanzanie.</span></em></strong><br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="http://2.bp.blogspot.com/-fvoAWV-KiaQ/UZvpDh6S7WI/AAAAAAAAN4E/nosDgJjhuv0/s1600/285054.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><span style="font-size: large;"><img border="0" height="127" src="http://2.bp.blogspot.com/-fvoAWV-KiaQ/UZvpDh6S7WI/AAAAAAAAN4E/nosDgJjhuv0/s200/285054.jpg" width="200" /></span></a><span style="font-size: large;">Selon la Maison Blanche, ''le président insistera sur l'importance que les États-Unis accordent à nos liens en plein développement avec les pays d'Afrique subsaharienne''.</span></div>
<span style="font-size: large;"> La même source évoque également la nécessité ''d'étendre la croissance économique, l'investissement et le commerce, de renforcer les institutions démocratiques, et d'investir dans une nouvelle génération de dirigeants africains''.</span><br />
<span style="font-size: large;"> Dans un communiqué publié mardi par son porte-parole, le chef de l’Etat sénégalais Macky Sall s’est réjoui de l’annonce de cette visite, après celle qu’il a effectuée le 28 mars 2013 à Washington. </span><br />
<span style="font-size: large;">‘’Le Sénégal et les Etats-Unis d’Amérique entretiennent une solide relation d’amitié et de coopération, fondée sur des valeurs partagées de paix, de démocratie et de respect des droits de l’Homme’’, mentionne la même source.</span><br />
<span style="font-size: large;"> Elle ajoute : ‘’Cette visite du Président OBama traduit la volonté commune des deux chefs d’Etat d’œuvrer ensemble au renforcement de ces relations privilégiées, dans un esprit de partenariat confiant et solidaire’’. </span><br />
<span style="font-size: large;">Barack Obama s'était rendu en 2009 au Ghana où il avait prononcé des messages dont certains termes étaient restés célèbres. "L'Afrique n'a pas besoin d'hommes forts mais d'institutions fortes", avait-il ainsi déclaré. "L'avenir de l'Afrique appartient aux Africains", avait également indiqué le président américain.</span><br />
<span style="font-size: large;"> Le 1er août 2012, l'ex-secrétaire d’'Etat américaine Hillary Clinton, en visite au Sénégal, avait rendu un hommage à la démocratie sénégalaise et aux acteurs de sa consolidation que sont, à son avis, les femmes et les jeunes, avant de rappeler les liens existant entre démocratie et développement.</span><br />
<span style="font-size: large;"> Hillary Clinton avait fait le lien entre démocratie et développement, avant de rappeler, dans un discours prononcé à l'université Cheikh Anta Diop (UCAD) de Dakar, les quatre piliers de la stratégie de la diplomatie américaine au Sénégal et en Afrique : "Renforcer les institutions démocratiques, stimuler la croissance, faire avancer la paix et la sécurité, promouvoir les possibilités et le développement".</span><br />
<span style="font-size: large;"></span><br />
<span style="font-size: large;">dakaractu.com</span>Batotohttp://www.blogger.com/profile/04366347771437972332noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4287542214928414907.post-2260819791584365672013-05-21T14:34:00.001-07:002013-05-21T14:39:59.877-07:00Sénégal : retour sur la mort d'Omar Blondin Diop, le Normalien subversif qui défiait Senghor<span style="font-size: large;">Par Mehdi Ba, à Dakar</span><br />
<div class="chapo">
<span style="color: #0b5394; font-size: large;"><strong><em>Intellectuel brillant sorti de Normale sup’, le Sénégalais Omar Blondin Diop fut une figure emblématique du mouvement contestataire post-soixante-huitard qui défia le président Léopold Sédar Senghor. Quarante ans après sa disparition controversée dans une prison sénégalaise, sa famille vient de lui rendre hommage à Dakar et entend faire rouvrir l'enquête sur les circonstances de son décès.</em></strong></span></div>
<a href="http://3.bp.blogspot.com/-5Xons3pAoUM/UZvoWWGAtNI/AAAAAAAAN38/QeDuqYzj19M/s1600/285054.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="113" src="http://3.bp.blogspot.com/-5Xons3pAoUM/UZvoWWGAtNI/AAAAAAAAN38/QeDuqYzj19M/s200/285054.jpg" width="200" /></a><span style="font-size: large;">Quatre décennies après sa mort tragique dans des circonstances jamais élucidées, sa photo trône aujourd'hui dans la salle du musée historique de l'île de Gorée, qui fut à l'époque, lorsque le Fort d'Estrées servait de prison civile pour les détenus récalcitrants, sa cellule mortuaire. Omar Blondin Diop avait 26 ans lorsque l'administration pénitentiaire sénégalaise annonça son suicide par pendaison dans la nuit du 10 au 11 mai 1973.</span><a href="http://3.bp.blogspot.com/-5Xons3pAoUM/UZvoWWGAtNI/AAAAAAAAN38/QeDuqYzj19M/s1600/285054.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><span style="font-size: large;"></span></a><br />
<span style="font-size: large;">Le parcours de ce jeune Normalien subversif promis à un brillant avenir éclaire un pan méconnu de l'histoire sénégalaise post-indépendance. Au lendemain de l'ébullition soixante-huitarde, qui lui avait fait côtoyer Daniel Cohn-Bendit à Nanterre, Omar Blondin Diop joua une part active dans les années de braise qui allaient voir de jeunes intellectuels sénégalais idéalistes, pétris d'influences panafricanistes et maoïstes, affronter – en recourant parfois à l'action violente – le régime francophile du </span><a href="http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJA20111219200511/" target="_blank"><span style="font-size: large;">président-poète Léopold Sédar Senghor</span></a><span style="font-size: large;">.</span><br />
<span style="font-size: large;">Porte-parole de la famille, le Dr Dialo Diop, médecin biologiste aujourd'hui âgé de 62 ans, a partagé la cause de son frère aîné, subissant comme lui l'incarcération et la torture. Il revient sur le parcours tumultueux de cet « esprit libre » dont la mort prématurée entraînera la libération de tous les prisonniers politiques alors détenus au Sénégal.</span><br />
<strong><span style="font-size: large;">Pourquoi avoir attendu le quarantième anniversaire de la mort de votre frère aîné pour lui rendre cet hommage ?</span></strong><br />
<span style="font-size: large;"><strong>Dr Dialo Diop : </strong>La Charte du Mandé, qui date du XIIIe siècle, affirme que « les mensonges qui ont vécu 40 ans doivent être considérés comme des vérités ». Le mensonge d'État portant sur la mort tragique de notre frère Omar ne pouvait devenir une vérité définitive, d'où ce devoir de soulever la question avant l'échéance fatidique. Cela s'est fait dans le cadre d'un forum de témoignages qui s'est tenu sur le campus de l'Université Cheikh Anta Diop (Ucad), à Dakar, à la veille de la date anniversaire de sa mort. Le lendemain, une plaque commémorative a été inaugurée dans son ancienne cellule, sur l'île de Gorée.</span><br />
<strong><span style="font-size: large;">De quel mensonge parlez-vous ?</span></strong><br />
<span style="font-size: large;">Celui qui a consisté à faire passer les violences physique qu'il a subies pour un suicide. C'est cela que nous qualifions de mensonge d'État. Placé au quartier disciplinaire, Omar avait droit à une promenade quotidienne de quinze minutes. Ce jour-là, le gardien lui a demandé de rentrer avant la fin de ce quart d'heure, ce qu'il a refusé. Trois « matons » lui sont tombés dessus et un coup de matraque l'a touché à la région bulbaire. La main courante rédigée ce jour-là par l'infirmier, chef de poste de l'île de Gorée, préconisait l'évacuation immédiate d'Omar vers le pavillon spécial de l'hôpital Le Dantec. Mais les personnels pénitentiaires ont paniqué et organisé la mise en scène de sa pendaison avec un drap. La version officielle prétend qu'il était drogué et que son sevrage forcé l'a amené à mettre fin à ses jours dans sa cellule.</span><br />
<strong><span style="font-size: large;">Qu'est-ce qui lui était reproché ?</span></strong><br />
<span style="font-size: large;">La condamnation d'Omar est liée à la mienne. Le 15 janvier 1971, avec plusieurs camarades, nous avions incendié le Centre culturel français de Dakar et le ministère des Travaux publics. Nous protestions contre les travaux d'aménagement de la capitale en prévision de ce que nous appelions « la tournée du suzerain Pompidou auprès de ses vassaux africains ». Le 3 février, jour de l'arrivée du président français, nous avons par ailleurs tenté de lancer des cocktails Molotov sur le cortège officiel. Nous appartenions à un groupe anti-hiérarchique et antiautoritaire qui se réclamait à la fois des Black Panthers et des Tupamaros uruguayens. Nous étions complètement immatures politiquement : j'avais 19 ans et le plus âgé du groupe en avait 25. Nous en avons payé le prix. J'ai été condamné aux travaux forcés à perpétuité. En prison, j'ai été torturé à l'électricité sur les instructions d'un assistant technique français de la police, ancien d'Algérie.</span><br />
<strong><span style="font-size: large;">En quoi cette condamnation fut-elle à l'origine de celle d'Omar ?</span></strong><br />
<span style="font-size: large;">Scandalisés par la disproportion du verdict, lui et ses camarades ont tenté d'organiser notre évasion. Depuis le </span><a href="http://www.jeuneafrique.com/pays/mali/mali.asp" target="_blank"><span style="font-size: large;">Mali</span></a><span style="font-size: large;">, ils ont pris contact avec moi, mais je les en ai dissuadés. C'était un risque inutile, la prison étant une passoire. Je leur ai donc suggéré de m'envoyer de l'argent pour l'opération et de nous attendre en </span><a href="http://www.jeuneafrique.com/pays/guinee/guinee.asp" target="_blank"><span style="font-size: large;">Guinée</span></a><span style="font-size: large;">. Mais à la veille d'une visite officielle de Léopold Sédar Senghor, le régime malien a procédé à l'arrestation de tous les réfugiés politiques sénégalais en exil à Bamako. Dans la poche d'Omar, ils ont trouvé ma lettre, ce qui lui a été fatal. Lui et ses camarades ont été extradés vers le Sénégal. Condamné à 3 ans de prison en mars 1972, Omar a pris ma place à Gorée ; quant à moi, j'ai été déporté à Kedougou, où étaient déjà détenus l'ancien premier ministre Mamadou Dia et </span><a href="http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAWEB20121221160851/" target="_blank"><span style="font-size: large;">son ministre Valdiodio Ndiaye</span></a><span style="font-size: large;">.</span><br />
<strong><span style="font-size: large;">Quels fondements idéologiques vous ont fait opter pour l'action violente face au président Senghor ?</span></strong><br />
<span style="font-size: large;">Ceux du panafricanisme. Nous étions au début des années 1970 et une bonne partie du continent était toujours sous la botte du colonialisme direct ou de régimes fantoches liés à l'ancienne métropole. Or, de la Guinée Bissau à l'Angola en passant par le Mozambique, le gouvernement sénégalais soutenait la tutelle coloniale au détriment des mouvements de libération. Avec d'autres régimes du pré-carré français, le Sénégal a soutenu le renversement de </span><a href="http://www.jeuneafrique.com/Articles/Dossier/ARTJAJA2579p042-045.xml0/" target="_blank"><span style="font-size: large;">Modibo Keïta au Mali</span></a><span style="font-size: large;">, l'isolement de Sekou Touré en Guinée, l'assassinat d'Olympio au Togo, la guerre contre l'UPC au Cameroun, tout en prônant le dialogue avec le régime sud-africain ou en s'opposant aux sanctions contre la Rhodésie.</span><br />
<strong><span style="font-size: large;">Les circonstances de sa mort ont-elles fait l'objet d'une plainte à l'époque ?</span></strong><br />
<span style="font-size: large;">Mon père a porté plainte pour homicide auprès du doyen des juges d'instruction. Le magistrat a pu consulter la main courante faisant état de la demande d'évacuation d'Omar et il a inculpé trois policiers. Dans la semaine qui a suivi, il a été relevé de ses fonctions et son remplaçant s'est empressé de rendre un non-lieu général. Finalement, c'est notre père qui sera la seule personne condamnée dans cette affaire, pour propagation de fausses nouvelles.</span><br />
<span style="font-size: large;">Nous venons de saisir la justice sénégalaise d'une demande de réouverture du dossier pour faits nouveaux. Le combat que nous menons est un combat de principe contre l'impunité, qui est une incitation à la récidive. Il est de notre devoir de faire la lumière sur ce drame. Nous le devons à nos parents aujourd'hui disparus et à la mémoire de notre frère.</span><br />
<span style="font-size: large;">________</span><br />
<span style="font-size: large;">Propos recueillis à Dakar par <strong>Mehdi Ba</strong></span><br />
<span style="font-size: large;">Jeuneafrique.com</span>Batotohttp://www.blogger.com/profile/04366347771437972332noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4287542214928414907.post-62470830225123453082013-04-29T12:51:00.002-07:002013-04-29T12:51:37.433-07:00Allusions aux critiques du leader de Rewmi: Macky cherche à banaliser Idy<span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif;"><span style="color: black;">(<b>Le Quotidien (Sn)</b> 29/04/2013)</span><span style="color: #3333ff;">
</span></span><span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif;"><br /><span style="color: black;"><strong><em><span style="color: #0b5394;">La polémique a été reportée à une date ultérieure. Malgré la
persistance des attaques de Idrissa Seck sur sa gestion des affaires publiques
depuis un an, Macky Sall a préféré se concentrer exclusivement sur ses charges
présidentielles ajoutées aux urgences nationales.</span></em></strong></span></span><a href="http://2.bp.blogspot.com/-1AmasCz6R9I/UX7PLy6p9HI/AAAAAAAANv4/SiXKcZ03Qv0/s1600/285054.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="186" src="http://2.bp.blogspot.com/-1AmasCz6R9I/UX7PLy6p9HI/AAAAAAAANv4/SiXKcZ03Qv0/s200/285054.jpg" width="200" /></a><br />
<span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif;"><span style="color: black;">On s’attendait à une
réponse du chef de l’Etat à Idrissa Seck très critique sur sa gestion du pays.
Le président de la République a indiqué samedi au cours du lancement du
mouvement Horizons 2020 de Moustapha Cissé Lô, ne pas voir la nécessité de
réagir aux propos de Idrissa Seck. En dépit de ces attaques de plus en plus
directes et personnalisées, Macky Sall refuse «de s’aventurer sur le terrain de
la polémique».<br />«Répondre à quoi et à qui ?», s’est demandé le chef de
l’Etat. Ce qui évite une nouvelle escalade verbale entre les deux personnalités
qui sont loin d’être de loyaux partenaires. Pour lui, les difficultés actuelles
restent la satisfaction des difficultés sénégalaises : «J’ai fort à faire avec
les problèmes et autres difficultés qui tiraillent quotidiennement les
Sénégalais.»<br />Pour lui, les urgences sont ailleurs. Elles sont dans la
recherche de solutions concrètes et durables aux problèmes de santé,
d’éducation, de production auxquels sont confrontées les masses laborieuses.
Macky Sall ajoute que la politique a une finalité et qu’elle ne consiste pas à
des invectives mais plutôt à la recherche de solutions aux problèmes des
populations. <br />«C’est ce à quoi j’invite chacun d’entre vous», lance-t-il
à l’assistance qui s’est fortement mobilisée pour lui offrir un accueil
populaire. «Ce n’est pas la politique politicienne qui fera avancer ce pays.
Chacun, dans son domaine d’activité précis, doit travailler à améliorer son
quotidien», dit-il. «Je ne suis pas dans la polémique. Celui qui m’attends sur
ce terrain ne m’y trouvera pas», précise-t-il. Il renchérit pour dégonfler ses
militants qui s’attendaient sans doute à une attaque contre l’ex-Premier
ministre : «Je travaille, j’exécute des chantiers. C’est déjà assez suffisant
comme sujet des préoccupations.»<br />Récemment le président de Rewmi avait
nommément accusé le chef de l’Etat d’être l’unique responsable de la léthargie
de la coalition Benno bokk yaakaar. Devant des militants à Paris, il a laissé
entendre que si Bby ne marche pas, c’est la faute à Macky Sall. Sur tous ces
sujets, l’ancien maire de Fatick a choisi de prendre la hauteur. <br />Entre
plusieurs précisions, il a réitéré ses engagements de réduire le mandat
présidentiel à cinq ans. Se tournant vers Cissé Lô qui l’avait de nouveau
interpellé, il lance : «C’est 5 ans et rien d’autre que ça. Je tiens au respect
de la parole donnée.»<br /><br />par Abdoulaye FALL </span></span><br />
<span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif;"><span style="color: black;"><span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif;">© </span><span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif;">Copyright Le Quotidien
(Sn)</span></span></span>Batotohttp://www.blogger.com/profile/04366347771437972332noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4287542214928414907.post-36908218100473235402013-04-29T12:49:00.003-07:002013-04-29T12:50:13.846-07:00PRIX DES DENREES ET COUT DE LA VIE: Ibrahima Sène prend le contrepied de Niasse et s'explique<span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif;"><span style="color: black;">(<b>Sud Quotidien</b> 29/04/2013)</span><span style="color: #3333ff;">
</span></span><span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif;"></span><span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif;"><br /><span style="color: black;"><strong><em><span style="color: #0b5394;">En marge d'une conférence sur le thème « Situation politique
nationale : Enjeux et Urgences» organisée par la fédération départementale Parti
de l'Indépendance et du travail (Pit) à Rufisque, Ibrahima Sène est revenu sur
l'aveu de Moustapha Niasse quant à « l'impuissance de l'Etat face à la cherté
des denrées de première nécessité ».</span></em></strong></span></span><br />
<a href="http://4.bp.blogspot.com/-RGng3oPcVkc/UX7O0AtMVRI/AAAAAAAANvw/XHINGodSCWo/s1600/285054.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="108" src="http://4.bp.blogspot.com/-RGng3oPcVkc/UX7O0AtMVRI/AAAAAAAANvw/XHINGodSCWo/s200/285054.jpg" width="200" /></a><span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif;"><span style="color: black;">Il a dégagé des pistes de solutions
relatives à la subvention du prix du riz et à l'homologation du prix de
certaines denrées comme l'huile et le lait.<br />De prime abord, le chargé des
questions économiques du PIT a d’abord tenu à préciser que le Président de
l’Assemblée nationale n’avait fait qu’exprimer son opinion qui ne peut en aucune
façon être celle du gouvernement, encore moins celle du président de la
République. « D’abord il a dit son opinion, c’est pas lui qui définit la
politique de l’Etat, ce n’est pas le gouvernement ni Macky Sall qui le disent,
c’est son opinion que je respecte du reste», a-t-il expliqué.<br />Dans le
même ordre d’idées, il ajoute que le rapport qu’on tente d’établir entre
l’augmentation de la production du riz et la baisse de son prix n’est pas aussi
évident qu’il y parait. « Produire du riz ne veut pas dire que le prix du riz va
baisser, ensuite compter sur la production du riz pour faire baisser son prix,
ce n’est pas demain la veille que le Sénégal sera autosuffisant en riz »,
fera-t-il observer. Pour M. Sène, « il n’est même pas évident que s’il est
autosuffisant en riz, les prix vont baisser ». Cependant, a-t-il poursuivi, « je
pense fondamentalement que le prix du riz peut baisser si on a une politique
appropriée de subvention. Evidement la banque mondiale et le Fmi ont en horreur
les subventions, mais eux ne sont pas des sénégalais. Les Sénégalais savent que
les denrées les plus essentielles à leur vie tels l’huile, le sucre, le riz, le
lait sont chères ces prix en 2012 sont significativement supérieurs à ceux qui
étaient en 2011. »<br />Prenant l’exemple du lait, le chargé des questions
économiques du PIT estime qu’il a connu une hausse de 10,8% alors qu’il était à
3,7% en 2011, le riz de même qui connait une hausse de 6,9% alors qu’en 2011 il
était 2,5%. Donc les prix sont élevés et les Sénégalais ne vont pas continuer à
accepter de voir les prix des denrées les plus essentielles poursuivre leur
hausse, a-t-il averti.<br />A son avis, « pour le lait et l’huile, le
gouvernement peut bien homologuer les prix et obliger en ce moment là, les
acteurs de la filière laitière et la Suneor à modérer les prix, comme il l’a
fait avec le lait. Sa loi sur le commerce intérieur et les prix de l’intérieur
lui permet de le faire. Et, concernant le riz, il faut nécessairement une
politique de subvention. Cette politique de subvention veut dire des recettes au
niveau du Budget, et je reste convaincu que ces recettes peuvent être obtenues
si on réduit encore davantage le train de vie de l’Etat. »<br />Car nonobstant
les 40 milliards obtenus en 2012 sur la réduction de certaines dépenses, M. Sène
estime qu’il y a encore des niches susceptibles de procurer des économies qui
pourront être consacrées à la subvention du riz et faire face la Banque mondiale
et au Fmi. C’est pourquoi, il estime que le gouvernement a besoin d’un soutien
populaire plutôt que d’être fragilisé par des considérations autres.<br />Par
rapport à l’emploi des jeunes, le conférencier ne partage pas l’avis de ceux qui
disent que l’Etat du Sénégal ne peut plus recruter. Il fait remarquer qu’en
2012, la masse salariale représentait 34,7% des recettes fiscales, un
pourcentage légèrement inférieur à la norme de 35% autorisés par L’UEMOA. Mais,
à l’en croire, le Sénégal peut, comme d’ailleurs « le PIT y tient, revoir sa
politique de rémunération des agents de l’Etat. Il y a des salaires et des
avantages exorbitants qui ne se justifient pas. Le gouvernement du Sénégal
devrait s’atteler à cela et en ce moment recruter beaucoup plus de médecins,
d’infirmiers, d’enseignants, brefs de cadres de l’administration. Et, cela sans
remettre en cause les acquis sociaux des classes
moyennes».<br /><br />Daouda GUEYE</span></span><br />
<span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif;"><span style="color: black;"><span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif;">© </span><span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif;">Copyright Sud
Quotidien</span></span></span>Batotohttp://www.blogger.com/profile/04366347771437972332noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4287542214928414907.post-16450069334647497872013-04-29T12:46:00.002-07:002013-04-29T12:47:40.728-07:00EL HADJI MALICK GAKOU SORT DE SON MUTISME: « Je travaille à faire de l'Afp le plus grand parti du Sénégal»<span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif;"><span style="color: black;">(<b>Sud Quotidien</b> 29/04/2013)</span><span style="color: #3333ff;">
</span></span><span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif;"></span><span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif;"><br /><span style="color: black;"><strong><em><span style="color: #0b5394;">L'ex ministre du Commerce, démissionnaire de son poste, sort
de son mutisme après plusieurs mois de silence. El Hadji Malick Gakou présidait
le lancement du mouvement dénommé « Synergie Guediawaye Bon Lieu ». Au cours de
la rencontre, l'ex-ministre et non moins numéro 2 de Moustapha Niasse a indiqué
qu'il travaillait à faire de l'Afp le plus grand parti politique du
Sénégal.</span></em></strong></span></span><a href="http://3.bp.blogspot.com/-xPJrtS24F8w/UX7OPTXSc5I/AAAAAAAANvo/QgPSS7Yn_f4/s1600/285054.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="124" src="http://3.bp.blogspot.com/-xPJrtS24F8w/UX7OPTXSc5I/AAAAAAAANvo/QgPSS7Yn_f4/s200/285054.jpg" width="200" /></a><br />
<span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif;"><span style="color: black;">Depuis sa démission surprise du gouvernement qui a fait couler
beaucoup d’encre dans l’échiquier politique ,Le numéro 2 de l’ Alliance des
forces de progrès El Hadji Malick Gakou multiplie, sans tambour ni trompette,
ses visites politiques dans Guédiawaye et dans les régions du Sénégal. Venu
présider le lancement d’un nouveau mouvement a Guédiawaye, l’ex ministre s’est
expliqué sur ses ambitions politiques à la tête de la mairie de sa localité avec
les élections locales qui se pointent à l’horizon.<br />Le chef en second des
«Progressistes» a tenu à préciser : «je n ai pas d’ambition personnelle dans ma
vie ,la seule ambition que je partage d’ailleurs avec les populations de ma
ville , c’est celle de servir les populations de cette ville où j ai grandi, où
j ai tout eu, ces populations qui me portent une affection indéfectible.
Aujourd’hui, le grand combat que je mène est que la ville de Guédiawaye soit
reconnue, que ces habitants vivent en harmonie avec les principes et les bases
du développement économique et social». <br />Se prononçant sur son mutisme
depuis sa démission du gouvernement, El Hadji Malick Gakou indique : «Même
aujourd’hui on ne m’entend pas, je suis obligé de vous parler parce que vous
êtes mes frères, mais aujourd’hui je parle mais vous ne m’entendez pas», ironise
ce dernier. Sur la vie politique de son parti, le numéro 2 des «Progressistes»
rassure : «le parti se porte à merveille.<br />L’Afp a des ambitions très
claires ,c’est de devenir le premier parti politique du Sénégal, nous y
travaillons. Hier, j’étais à Mbour invité par la convention des jeunes de Mbour.
L’afp est en train de porter les segments d’un parti politique qui ambitionne de
devenir le 1er plus grand parti politique du Sénégal. Dans les mois et années à
venir, vous allez constater de vous-même. Weddi guis bokk ci», a lancé ce
dernier en wolof.<br /><br />Moussa THIAM<br /><span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif;">© </span><span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif;">Copyright Sud
Quotidien</span></span></span><br />
<span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif;"><span style="color: black;"></span></span><br />Batotohttp://www.blogger.com/profile/04366347771437972332noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4287542214928414907.post-13244877847536959472013-04-29T12:45:00.000-07:002013-04-29T12:45:26.359-07:00LA PREMIÈRE DAME, SES RÉSEAUX ET SON INFLUENCE…: La face cachée de Marème Faye Sall<span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif;"><span style="color: black;">(<b>Nettali</b> 29/04/2013)</span><span style="color: #3333ff;">
</span></span><span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif;"></span><span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif;"><br /><span style="color: black;"><strong><em><span style="color: #0b5394;">Plus d’un an après l’accession de Macky Sall à la tête de la
magistrature suprême, les critiques ne fusent pas seulement contre celui que les
sénégalais ont porté à la tête de la magistrature suprême, un certain 25 mars
2012. Des attaques ciblées contre la première Dame Marième Faye Sall à qui l’on
reproche de placer dans des postes stratégiques de l’État ses parents et
proches.</span></em></strong></span></span><br />
<a href="http://3.bp.blogspot.com/-OE4NAMO3OMU/UX7NtvjCqxI/AAAAAAAANvc/kL_lmbUsxIw/s1600/285054.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="134" src="http://3.bp.blogspot.com/-OE4NAMO3OMU/UX7NtvjCqxI/AAAAAAAANvc/kL_lmbUsxIw/s200/285054.jpg" width="200" /></a><span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif;"><span style="color: black;">EnQuête a essayé d’en savoir plus, pour faire le point entre
la réalité et le construit dans ces critiques contre une femme qui dérange
certains cercles politiques. Une immersion dans la vie de Marième Faye Sall,
surtout durant la période de la traversée de désert, explique bien sa position
stratégique, enviée, mais bien inconfortable...<br />C’ est un de ses proches
qui tient ces propos surannés : “N’importe où au Sénégal, dans le coin le plus
reculé, quand on nomme un sous-préfet, s’il a pour nom de famille Faye, la
vindicte populaire ne se demandera pas s’il est un cadre méritant et s’il est
compétent. Son nom de famille suffira pour le faire condamner. On dira que c’est
le frère de la Première Dame. J’en ai déjà compté une centaine et la liste
s’allonge tous les jours. A ce rythme, ils ont bien raison de parler de
dynastie. Il y a sans doute des malhonnêtes qui seraient heureux de compter
parmi “les frères” de la première Dame.”<br />La remarque, pour fâcheuse
qu’elle soit, rend compte de l’irritation sur la peau de ses proches que
causent, désormais, les commentaires qui portent sur Marème Faye, l’épouse du
président Macky Sall. La jeune Marie Thérèse Faye est nommée à la tête de La
Case des toutpetits, les « revueurs » de presse s’emballent au petit matin,
soulignant que la première Dame est à la base de cette promotion de sa soeur
cadette.<br />Tamsir Faye, un responsable des jeunes de l’Apr de Paris devient
Consul à Marseille après une bonne année d’attente, les compteurs se mettent
encore en marche, pour dénombrer et dénoncer le fait que l’épouse de Macky Sall
ne se gêne pas à caser “son frère”. Quand les proches du président de la
République s’en indignent et s’en plaignent, les “revueurs” de presse, qui
agrémentent leurs lectures de vertes petites tirades pimentées, ont déjà porté
la nouvelle jusqu’au coin le plus reculé du pays, suscitant les indignations et
les hoquets de leurs auditeurs qui s’épouvantent quand ils ont l’oreille collée
au transistor pour écouter leur star les nourrir de ses nouvelles
matinales.<br />Le dernier en date est un autre “frère”, Mahwa Faye, nommé au
Conseil économique, social et environnemental, en même temps que M. Amadou
“Thimbo”, le nom qu’il ne faudrait plus porter, quand on ne veut pas se faire
accuser de “parent” du président Macky Sall. Le premier n’a aucun lien de
parenté avec la première dame, le second n’est parent du président que de nom.
Ce que les détracteurs de la première dame aiment le plus à souligner pour
s’indigner goulument et allonger leur liste des “membres de la
dynastie”.<br />Les Timbo ont beau faire les démentis nécessaires, assurer
qu’il ne s’agit que d’une ressemblance de nom, il en restera toujours un brin de
vérité pour alimenter les ragots du lendemain. Le nouveau conseiller économique
de Kaolack “frère” médiatique de la première Dame s’en plaindra et dira même
qu’il est le père d’un journaliste bien connu. Il n’arrivera jamais à réveiller
le brin de regret qu’il attend des “amis” de son fils.<br />C’est trop beau
pour que telle histoire puisse être fausse. Si ce n’est pas un frère, c’est
peut-être un cousin, susurrent-ils, confiants. La vérité est qu’aucune de ces
personnes citées n’a le moindre lien de parenté avec Marème Faye ou Macky Sall.
Thimbo n’est pas l’oncle de Macky Sall, comme Sara Sall, présent sur la liste,
n’est pas son frère. Mais un homme est-il nommé Pca le lendemain qu’il se voit
rappeler par les historiens en paille qu’il a été “tailleur” de Marème Faye
?<br />Son militantisme dans l’Apr, ses faits d’armes, sa fidélité à son parti
parti, il se les fait ranger dans les pelotes et les bobines de sa machine à
coudre. La première Dame fait mine de ne pas s’en faire, mais son dédain ne fait
que nourrir la conviction des commentateurs, assurés que s’il n’y a pas de
démenti, ce n’est point par mépris, mais que “quelque chose doit être vrai, dans
tout cela”.<br />Combattante de l’Apr<br />Les critiques fusent, mais il y a
une période, difficile celle-là, de souffrances et de privations, pendant
laquelle cette femme, au teint d’ébène, à la fois affable et distante que Macky
Sall a rencontrée à Diourbel alors qu’il rendait visite à son ami Mamadou Talla,
aurait bien souhaité compter autant d’amis et de parents. Ils ont commencé à la
fréquenter quand le mari, cadre-opposant devenu ministre, puis Premier ministre,
pouvait aider à ouvrir quelques portes fermées.<br />Les “parents” ont
commencé à redevenir rares quand Macky Sall est redevenu infréquentable, bouté
dehors par Wade. C’est pourtant à ce moment que Marème Faye fait preuve d’une
loyauté et d’une abnégation qui suscite l’admiration de son époux. Elle
l’épaule, l’aide à franchir le cap difficile.<br />C’est elle qui refuse toute
rencontre avec les Wade. Quand Macky Sall doit aller rencontrer le président
Abdoulaye Wade qui lui réclamait sa démission, c’est elle qui va faire des
exercices avec le mari, en présence de quelques fidèles médusés. “Elle lui
disait bon, je suis le président Wade. Tu réponds, si je te dis Macky, je veux
que tu démissionnes, quelle va être ta réponse ?” Le mari répondait
laborieusement, jusqu’à la satisfaction générale. “Tu vas te battre comme tout
le monde, ceux qui sont en train de se battre ne sont pas plus dignes que toi.
Dieu est grand. Tu ne peux pas t’être battu pour le faire élire et qu’après, tu
sois sacrifié pour son fils”, lui dit-elle quand l’idée vient à certains membres
du cercle de renouer avec le “père” Wade.<br />Ce dernier finira par les punir
sévèrement en leur retirant le passeport diplomatique. “A chaque fois qu’ils
voyageaient, Marème Faye tenait ses bagages dans ses mains, pour lui éviter la
honte, en lui disant : je ne te laisserai jamais déshonoré par ces gens”,
témoigne un témoin de la traversée de désert. C’est à ce momentlà que les liens
se renforcent, dans une relation qui n’a pas toujours été sans heurts. Marième
Faye a dû se bagarrer rageusement pour garder son mari, contre l’avis d’une
partie de sa belle-famille qui voyait mal qu’un toucouleur n’épousât pas une
autre toucouleur comme lui, mais une sérère.<br />“C’est en ce temps qu’elle
forge sa personnalité, sa force et surtout sa foi qu’elle porte encore en elle.
Et pourtant, elle venait d’une famille très aisée, comparée à celle du président
de la République. Mais le problème ethnique était là, qui deviendra pourtant le
grand avantage de Macky Sall, celui de sa double appartenance. S’il avait épousé
une toucouleur comme lui, ceux qui l’ont accusé d’être ethniciste auraient sans
doute eu du grain à moudre”<br />Ces questions aujourd’hui dépassées, le
président de la République a toujours compris le parti qu’il pouvait tirer d’une
femme aussi loyale, celle qui l’a accompagné pendant tout son parcours. Une
rareté en politique, où le divorce et le remariage sont la règle. Macky Sall
s’est toujours appuyé sur son épouse et a toujours compté sur son instinct.
Alors que son fort est surtout dans la mise en réseau. “Sans elle, le parti
aurait sans doute explosé, parce qu’elle trouvait toujours de renouer les liens
défaits entre son parti et certains de ses grands souteneurs et amis”, se
souvient un ancien cadre entré en disgrâce. C’est sans doute ce qui lui est
resté de son métier et de son parcours académique.<br />Beaucoup de gens
voient son aspect négligé, alors qu’elle est bien structurée dans la
tête.<br />Les amis de la famille vont même jusqu’à assurer que le palais
pourrait bien se passer d’un électricien, tellement cette femme est compétente
dans le domaine. Elle aurait terminé ingénieur, comme son mari, si le mariage ne
représentait pas pour elle un impératif religieux bien plus
important.<br />“On reproche à cette dame d’arrêter ce qu’elle a toujours fait
pour faire d’un jeune cadre un président de la République. C’est elle qui l’a
soutenu, pendant les moments difficiles, pendant la traversée du désert, parfois
seuls. Il est arrivé que le moral tombe au plus bas, face aux épreuves, comme
cette soirée pendant laquelle Macky Sall a été convoqué par la police. C’est
elle qui allait dans les mosquées, demandait des prières pour son mari”, assure
un jeune militant, “fils” de la famille. Marème Faye a été de tous les combats.
Le 23 juin 2011, jour décisif, elle était en teeshirt, distribuant de l’eau et
de la nourriture aux manifestants. Quand, pendant la campagne électorale, le
président de la République est en panne d’argent, au point de rentrer à Dakar,
c’est elle qui vend ses bijoux en or, les derniers bijoux qui lui restaient,
pour tenir son mari dans la course à la présidentielle.<br />Le réseau
d’amis<br />De tels sacrifices lui donnent une légitimité que peu de gens ont
pu avoir dans l’Apr. “Tous, je dis bien tous, sont partis un jour, et sont
revenus. Tous ont douté. Il n’y a qu’elle qui ne soit jamais partie. Elle
n’avait pas le choix, elle était obligée d’épouser le destin de son mari. Elle
nous avait dit : bon, s’il y a de mauvaises nouvelles, venez me dire. Quand il y
en a de bonnes, dites à mon mari. C’est ainsi qu’elle a gardé le moral de son
époux, pour l’épargner le doute qui ravageait les autres”.<br />Elle a acquis
une telle place que l’analyste politique Souleymane Jules Diop a souligné, un
jour, que “les Sénégalais, en élisant Macky Sall, élisent aussi son épouse, qui
a autant contribué que lui dans son parcours politique. Comme les Américains, en
élisant Barack Obama, ont aussi élu son épouse Michelle. Les grandes réussites
des grands hommes politiques sont les réussites de leurs épouses, des Kennedy à
Obama, en passant par les Clinton. Elles se sentent de ce fait une légitimité”.
Une sortie suffisante pour susciter la polémique.<br />La première Dame
abuse-t-elle de cette position privilégiée acquise par son combat militant ?
A-t-elle, comme on le prétend, placé sa famille dans l’appareil d’Etat ? Peu
probable, si l’on en croit les personnes désignées du doigt. Il est vrai que son
beau-père Homère Seck a été nommé Pca, nomination qui, à l’évidence, dérange.
Mais les défenseurs de la première Dame assurent que cette nomination est bien
justifiable : “Homère avait été nommé par Wade, mais il avait été nommé Pca dans
le quota de la Cdp d’Iba Der Thiam, où il était un grand responsable. Quand
Macky Sall est tombé, Wade l’a limogé lui aussi. Il a adhéré à l’Apr où il a
fondé le mouvement des personnes du troisième âge et est devenu responsable à
Rufisque.<br />Il est bien normal qu’il retrouve au moins son poste de Pca
d’avant. C’est son parcours qui le lui a donné, rien d’autre.” Ils citent le cas
de Mansour Faye, autre frère promu à la Solidarité nationale. Sa nomination et
sa position actuelle se justifient par son histoire personnelle, liée à la
naissance de l’Apr. “Quand l’Apr a été créée, Macky Sall était peu fréquentable.
Ce sont les parents de Marème Faye et quelques rares amis du président Sall qui
se sont mis au premier plan pour implanter le parti dans l’ensemble du
pays.<br />Mansour a vendu sa maison et ses deux terrains. Il a donné une
partie de l’argent comme contribution à la campagne. Il est parmi les 33
personnes qui ont signé la déclaration de création de l’Apr. Aucun des ministres
actuels n’était sur cette liste. A ce jour, il est le seul frère de Marème Faye
qui a été nommé et il n’est même pas ministre”, soulignent des proches de la
famille.<br />Ces vérités martelées n’empêchent pas la clameur d’enfler contre
une dame qui n’est sans doute pas sans quelques défauts. C’est une passionnée
qui aime marquer son territoire et défendre ses idées. Un peu trop, diraient
certains, au point d’irriter. Elle peut se montrer irritante, parfois agaçante,
quand elle veut défendre une conviction, asséner ses vérités quand elle en a et
défendre âprement les intérêts de ses amis et combattre ses adversaires. Elle
serait aussi très jalouse...<br />Mais loin de l’image que l’on veut donner
d’elle, Marème Faye est d’une simplicité frappante et d’un humour touchant. Sa
simplicité en a déjà fait une première Dame pas comme les autres. “Nous étions à
Abuja. Elle était avec une garde nigériane. Elle lui a demandé son nom, elle lui
a dit qu’elle s’appelait Marème. La première Dame a souri, en lui faisant
remarquer qu’elles portaient le même prénom”, confie un journaliste ami de la
famille. La garde en était tout de même choquée, pour avoir été rarement abordée
avec autant de simplicité. Dans les couloirs, les gardes étaient toujours
surpris de voir cette première Dame qui passe parfois pieds nus.<br />C’est
elle, celle qui est peu bien traitée par les médias, qui aide son mari président
à garder les pieds sur terre et la tête sur les épaules. De fait, Marème Faye
n’a pas plus de pouvoirs qu’en avait Viviane Wade, qui avait des fonds
politiques de plusieurs centaines de millions de francs et avait un cabinet avec
sa pléthore de gardes du corps et de servantes. Elle n’en a pas plus qu’en avait
Elisabeth Diouf, avec sa fondation et ses amis. Mais les Sénégalais doivent
d’abord apprendre à vivre avec une première Dame comme eux, une Sénégalaise bon
teint qui aime aller au marché sans être accompagnée. C’est peut-être ce qui les
fait éructer en premier, au lieu de les rendre fiers.<br /><br />Papy </span></span><br />
<span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif;"><span style="color: black;"><span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif;">© </span><span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif;">Copyright Nettali</span></span></span>Batotohttp://www.blogger.com/profile/04366347771437972332noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4287542214928414907.post-82240333877610181212013-04-29T12:42:00.002-07:002013-04-29T12:42:25.211-07:00Campagne mondiale pour l’éducation: Dans les zones périphériques, il y a un déficit d’enseignants<span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif;"><span style="color: black;">(<b>Le Soleil</b> 29/04/2013)</span><span style="color: #3333ff;">
</span></span><span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif;"></span><span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif;"><br /><span style="color: black;"><strong><em><span style="color: #0b5394;">Le lancement de la Campagne mondiale pour l’éducation (Cme)
a servi de prétexte aux participants pour remettre sur la table l’insuffisance
des enseignants, leur répartition inégale et inéquitable, mais aussi la non
qualification de certains d’entre eux.</span></em></strong><br />La Semaine mondiale d’action 2013
du secteur de l’éducation a été lancée au Centre de sauvegarde de Cambérène. Les
participants ont planché sur le thème : « L’éducation de qualité pour tous,
chaque enfant a besoin d’un enseignant ; des enseignants qualifiés pour tous ».
D’emblée, le directeur du Centre de sauvegarde, M. Diaw a cité les contraintes à
surmonter pour prétendre à la qualité. Pour lui, il faut relever le défi des
grèves cycliques. <br />« Les enseignants ont tendance à défendre la liberté
pédagogique. Une minorité d’entre eux est bloquée dans des a priori
idéologiques. Nous les invitons à tenir en compte l’intérêt supérieur de la
nation », a-t-il noté. <br />Le coordonnateur de la Coalition des organisations en
synergie pour la défense de l’éducation publique (Cosydep), Cheikh Mbow, a
indexé le déficit d’enseignants dans les zones périphériques. Cela pose, selon
lui, des principes d’équité et de justice sociale. « Le lancement de la Semaine
mondiale d’action sur l’éducation nous interpelle sur plusieurs questions :
l’insuffisance ou le manque de formation des enseignants, le déficit
d’encadrement de la part des corps de contrôle, d’enseignants dans certaines
zones ou pour certaines disciplines, la nécessité d’un déploiement des
enseignants plus équitable et plus incitatif », explique M. Mbow. Il s’est
félicité de la mobilisation pour une reflexion sur la qualité. <br />Les
différents intervenants ont insisté sur la formation initiale et continue
obligatoire pour tous les enseignants avec des référentiels pertinents. « Si
nous croyons réellement au principe de l’éducation pour tous, nous ne pouvons
plus nous contenter des seuls progrès relatifs à l’accès. Nous devons investir
sur les enseignants formés pour tous. L’enseignement est un métier et tout
métier s’apprend », a déclaré Cheikh Mbow. <br />Les participants ont estimé qu’il
faut près de 3 millions de nouveaux enseignants à l’Afrique pour atteindre
l’objectif de l’enseignement primaire universel en 2015. <br /><br />Idrissa SANE </span></span><br />
<span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif;"><span style="color: black;"><span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif;">© </span><span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif;">Copyright Le
Soleil</span></span></span>Batotohttp://www.blogger.com/profile/04366347771437972332noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4287542214928414907.post-63723891816324772622013-04-29T12:40:00.002-07:002013-04-29T12:41:15.971-07:00KEDOUGOU: Une bande armée dépouille des agents de Randgold et des voyageurs<span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif;"><span style="color: black;">(<b>Sud Quotidien</b> 29/04/2013)</span><span style="color: #3333ff;">
</span></span><span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif;"></span><span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif;"><br /><span style="color: black;"><strong><em><span style="color: #0b5394;">Une équipe de géologues et leurs manœuvres ont passé jeudi
dernier une journée très éprouvante Au retour d'une mission de reconnaissance
géologique, et au moment de rallier la base de Kharakhéna, ils sont tombés sur
une bande armée qui les a dépouillés d'une partie de leur matériel. Plus loin,
vers Sayansoutou, le lendemain, la même bande s'est attaquée à de paisibles
voyageurs dont certains seront molestés et blessés.</span></em></strong><br />S’il ya une chose sur
laquelle tous les habitants de la région naturelle du Sénégal oriental sont au
moins d’accord, c’est que l’on sent l’absence de l’Etat dans la plupart des
zones d’opérations minières, du moins sur le plan sécuritaire. Jeudi dernier, en
plein jour, une bande de six individus armés d’AK 47 et de machettes, a fait
irruption dans le secteur de Kharakhéna, un nouveau site d’orpaillage
traditionnel en pleine expansion situé dans la communauté rurale de
Bembou.<br />Les malfrats ont mis des abattis sur la piste reliant la base de
la compagnie Randgold à l’un de ses sites de reconnaissance géologique. Ils ont
sommé les membres de l’une des équipes (un chauffeur, deux géologues et deux
manœuvres) de s’arrêter et de leur donner de l’argent, en tirant sur les pneus
de leur véhicule. « Quand nous avions répondu que nous n’en avions pas, ils nous
ont demandé de nous déshabiller afin qu’ils puissent procéder aux vérifications
nécessaires. Quand ils ont trouvé de l’argent sur le chauffeur, ils l’ont roué
de coups de machette et ont tout de suite subtilisé nos boussoles, GPS et
téléphones portables. Ils ont subtilisé les GPS et les téléphones et tiré des
coups de feu en l’air, en nous demandant de nous éloigner de là». Le chauffeur
et l’un des géologues s’en tireront avec quelques blessures.<br />Ces bandits
encagoulés, selon l’une des victimes, parleraient bambara et mossi. La base de
Randgold située à Kharakhéna à notre passage vendredi, était désertée par les
travailleurs de ladite compagnie. Exceptés le concierge et le jardinier, tous
ont rejoint Kédougou pour récupérer de cette frayeur et se mettre à l’abri.
Alertés, les pandores de la brigade de Saraya sont arrivés sur les lieux, ont
fouillé les coins et recoins de Kharakhéna, mais c’était sans compter avec
l’expertise des membres de ce gang qui ont vite quitté les lieux.<br />Le
lendemain matin, vendredi, ils se sont signalés dans les villages maliens de
Borolla et Farinkounda qui font face aux villages sénégalais de Sayansoutou et
Worotokoti pour s’attaquer à des motocyclistes qu’ils dépouilleront de leurs
biens, avant de prendre la clef des champs à l’intérieur du Sénégal. C’est la
deuxième fois dans ce secteur en moins d’un mois car, les 29 et 30 mars
derniers, ils y avaient procédé de la même manière. Les habitants de Worotokoti
avaient réussi à saisir le sac d’un des assaillants dans lequel ils avaient
trouvé des munitions.<br />Les populations exigent le renforcement du dispositif
sécuritaire<br />Le chef de village de Kharakhéna, le président du conseil
rural de Missira Sirimana, le directeur intérimaire de l’école de Kharakhéna,
les nombreux orpailleurs qui commencent à s’installer dans la zone, tous
invitent l’Etat à concevoir et mettre en œuvre une politique sécuritaire
adéquate et suffisamment dissuasive. « Nous saluons les efforts des pandores de
la brigade de Saraya qui sillonnent chaque jour la zone, mais cela s’avère
insuffisant eu égard à l’étendue du secteur qui fait frontière avec la Guinée et
le Mali.<br />Ces actes de grand banditisme deviennent monnaie courante ici,
et personne ne dort du sommeil des justes car la contrée n’est pas encore
couverte par le réseau Gsm », a expliqué Amath Sène, le chef de l’établissement
scolaire du village. Sayba Keita, le fils du chef de village lui emboitera le
pas pour implorer la puissance publique à implanter dans la zone un cantonnement
militaire et à augmenter les postes de gendarmerie bien équipés. Personne ne
comprend dans cette zone que les populations et les compagnies soient laissées à
elles mêmes dans la mesure où les entreprises minières investissent énormément
d’argent pour les besoins de l’exploration et des centaines et des centaines de
millions de nos francs y circulent, le transport et le commerce se développent,
le volume démographique augmente du fait de l’orpaillage
traditionnel.<br />Pour rappel, dans la zone de Sambarabougou, le crâne d’un
orpailleur qui détenait une quantité non négligeable d’or y avait été fracassé
par des bandits qui avaient aussi mis à sac plusieurs équipements marchands du
dit village. Malgré les opérations de sécurisation et d’assainissement de la
gendarmerie, la peur peine à être installée dans le camp des
malfrats.<br /><br />Boubacar TAMBA</span></span><br />
<span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif;"><span style="color: black;"><span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif;">© </span><span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif;">Copyright Sud
Quotidien</span></span></span>Batotohttp://www.blogger.com/profile/04366347771437972332noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4287542214928414907.post-83481533959884059782013-04-25T13:28:00.000-07:002013-04-25T13:28:18.890-07:00MARCHE DE SOUTIEN A KARIM WADE: le PDS veut-il se substituer à la Justice ?<span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif;"><span style="color: black;">(<b>Le Pays</b> 25/04/2013)</span><span style="color: #3333ff;">
</span></span><span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif;"></span><span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif;"><br /><span style="color: black;"><strong><em><span style="color: #0b5394;">Protester contre l’arrestation de Karim Wade et contre la
vie chère. Voilà les deux raisons pour lesquelles le PDS (Parti démocratique
sénégalais) a battu le pavé le 23 avril dernier à Dakar. Vous avez dit cherté de
la vie ? On croirait rêver. Le PDS, qui vient de quitter les affaires, n’est pas
étranger à cette crise économique et financière qui étreint les
Sénégalais.</span></em></strong></span></span><br />
<a href="http://1.bp.blogspot.com/-6rZZaOYj7-E/UXmRxvDMbdI/AAAAAAAANtw/01MNYs79Br0/s1600/285054.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="116" src="http://1.bp.blogspot.com/-6rZZaOYj7-E/UXmRxvDMbdI/AAAAAAAANtw/01MNYs79Br0/s200/285054.jpg" width="200" /></a><span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif;"><span style="color: black;">En fait, plus qu’une revendication, il pourrait s’agir d’une
stratégie pour se rallier d’autres groupes sociaux comme les syndicats et
d’autres organisations de la société. Ce deuxième objectif, certes mobilisateur,
ne peut cependant cacher le but numéro un de la marche : celui de donner un coup
d’accélérateur à la politisation de l’affaire Karim Wade. Car, dès le premier
jour où la Justice a commencé à fouiner dans la gestion de l’ex-ministre des
Infrastructures, de la coopération internationale, des transports terrestres et
de l’énergie, le PDS a crié à la chasse aux sorcières. Il est donc toujours dans
cette logique, tout en montant d’un cran la forme de protestation. <br />Cette
stratégie de la politisation à outrance d’un dossier judiciaire peut cependant
s’avérer être un couteau à double tranchant. En jetant les projecteurs sur
l’affaire Karim, le PDS oblige certes, la Justice à observer toute
l’indépendance requise dans le traitement du dossier, et le pouvoir à faire
preuve de neutralité. Mais le revers de cette option, c’est que le PDS pourrait
se mettre à dos une bonne partie de l’opinion sénégalaise, qui veut que la
lumière soit faite sur la gestion du fils du président Wade. Il donne aussi
l’impression de vouloir, par la pression de la rue, intimider ou influencer le
cours de la Justice. Enfin, venant d’un parti qui se dit démocratique, cette
façon de réagir à une affaire judiciaire peut apparaître comme un déni du droit.
<br />Or, depuis le début de la procédure, et sans être dans les arcanes de la
Justice, on peut tout de même reconnaître à la Justice sénégalaise son
impartialité. Elle fait preuve d’une volonté de transcender les passions et les
querelles partisanes, pour ne dire que le droit. Le dossier, qui est d’une
extrême délicatesse, ne saurait en effet souffrir d’une quelconque manipulation.
Pour une fois qu’elle a l’occasion de se mettre en exergue, on n’ose pas
imaginer que la Justice manquera ce rendez-vous avec l’histoire. En dehors de
Idrissa Seck, qui a croupi en prison sous Wade dans les circonstances que l’on
sait, Karim Wade est sans doute l’un des plus grands dignitaires que le Sénégal
ait jamais jugés, pour des crimes économiques. <br />Le challenge est donc
grand pour ce pays dont la réputation de vitrine de la démocratie en Afrique
francophone est à nouveau en jeu. Autant le président Macky Sall et la Justice
font preuve d’un courage rare sous nos cieux, en s’attaquant à un symbole tabou
en Afrique, la prédation des biens publics, autant le PDS, par sa gesticulation,
se trahit. Soit il a peur de la Justice vraie, soit il se reproche quelque
chose. Autrement, il n’a pas besoin d’ameuter ses troupes pour marcher contre
une procédure judiciaire. Etre démocrate et républicain, c’est aussi faire sien
le proverbe latin « Dura lex, sed lex » (La loi est dure mais, c’est la
loi).<br /><br />Mahorou KANAZOE</span></span><br />
<span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif;"><span style="color: black;"><span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif;">© </span><span style="font-family: Verdana, Arial, Helvetica, sans-serif;">Copyright Le Pays</span></span></span>Batotohttp://www.blogger.com/profile/04366347771437972332noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4287542214928414907.post-81631690583608021562013-04-04T13:50:00.003-07:002013-04-04T13:50:51.709-07:0053ème anniversaire de l’indépendance du Sénégal : le programme de la cérémonie de prise d'armes <div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="http://3.bp.blogspot.com/-jblB5HuitLg/UV3nhlOJq6I/AAAAAAAANqQ/OOzURpiE2UU/s1600/285054.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="199" src="http://3.bp.blogspot.com/-jblB5HuitLg/UV3nhlOJq6I/AAAAAAAANqQ/OOzURpiE2UU/s320/285054.jpg" width="320" /></a></div>
<strong><em><span style="color: #0b5394;">1249 militaires et civils vont défiler à pied devant le président de la République, Macky Sall, et diverses autres autorités pour commémorer l'anniversaire de l’accession, en 1960, du Sénégal à la souveraineté internationale. Le président de la République, note l’APS, est attendu ce jeudi à partir de 10 heures à la Place de l'Indépendance à Dakar la cérémonie de prise d'armes marquant la célébration de la fête nationale du Sénégal.</span></em></strong><br />
A rappeler que cette année, la fête de l’Indépendance sera célébrée sous le thème : "La contribution des Forces de défense et de sécurité dans la redynamisation de l’esprit civique". <br />
La Direction de l’information et des relations publiques des armées (DIRPA) de confier à la même source que la mise en place des officiels et des invités prend fin à 8h25, et la cérémonie comportera un défilé militaire et paramilitaire et une remise de décorations, en présence des anciens combattants.<br />
<div class="real-auteur auteur">
<div class="access">
</div>
<div class="access">
Mamadou Sakhir Ndiaye</div>
<div class="access">
pressafrik.com</div>
</div>
Batotohttp://www.blogger.com/profile/04366347771437972332noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4287542214928414907.post-4688074209367839282013-04-04T13:48:00.000-07:002013-04-04T13:48:29.936-07:00Sénégal : Sindiély Wade poursuivie pour détournement de 400 millions de F CFA<!-- INFOS --><br />
<div class="coque4">
<span class="pays">par <span class="vcard author"><a class="url fn spip_in" href="http://www.afrik.com/abubakr-diallo">Abubakr Diallo</a></span>, <span class="vcard author"><a class="url fn spip_in" href="http://www.afrik.com/cheikh-dieng">Cheikh Dieng</a></span></span></div>
<div class="coque4">
<span class="pays"><span class="vcard author"><div class="chapo2" id="chapo">
<strong><em><span style="color: #0b5394;">Quelques jours après la mise en demeure de Karim Wade, fils de l’ancien président de la république sénégalaise, c’est autour de la fille, Sindiély, d’être poursuivie par la justice. Elle est accusée d’avoir détourné quatre cent millions de FCFA.</span></em></strong><a href="http://4.bp.blogspot.com/-u8Gax2iKW6Y/UV3m9CE7TqI/AAAAAAAANqI/5KwKl1-zDo4/s1600/285054.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="133" src="http://4.bp.blogspot.com/-u8Gax2iKW6Y/UV3m9CE7TqI/AAAAAAAANqI/5KwKl1-zDo4/s200/285054.jpg" width="200" /></a></div>
<div class="print1" id="print">
Quelques jours après la mise en demeure de Karim Wade, le 15 mars dernier pour une affaire de 694 milliards de FCFA (1 milliard d’euros), Sindiély Wade est aujourd’hui mise en cause par l’Inspection générale d’Etat pour une affaire de détournement d’un montant de 400 millions de FCFA (610.000 euros). C’est dans le cadre de l’organisation du Festival mondial des arts nègres dont l’organisation lui avait été « confiée » par son père, Abdoulaye Wade, ancien Président du Sénégal.<br />
<strong>Epinglée au Sénégal…</strong><br />
Selon l’Inspection générale d’Etat (IGE), qui vient de communiquer son pré-rapport sur la gestion du Festival mondial des arts nègres (Fesman) aux intéressés pour recueillir leurs réponses, a formellement mise en cause la fille de l’ex-Président sénégalais, Abdoulaye Wade, pour un détournement de deniers publics d’un montant de 400 millions FCFA (610.000 euros). L’ancien Chef de l’Etat aurait été informé de la mise en cause de sa fille dans le cadre de cet audit par Nafissatou Ngom Keïta, patronne de l’IGE. Cette dernière était venue rencontrer Wade à Versailles pour lui notifier les dispositions prises par Macky Sall et afférentes à son traitement d’ancien Chef d’Etat, apprend-on du quotidien sénégalais <i>Libération</i>.<br />
<strong>…Et en France</strong><br />
La fille de l’ex-Président sénégalais est également soupçonnée de détenir un nombre important de biens immobiliers en Europe, notamment en France. C’est d’ailleurs dans ce cadre qu’on a appris que l’Office central de la répression de la grande délinquance financière (OCRGDF) s’intéresse de très près aux conditions d’acquisition d’un luxueux appartement dans le 16ème Arrondissement de Paris. Il s’agit du n°27, Avenue Pierre 1er de Serbie, siège de deux sociétés civiles immobilières (Sci) liées aux Wade, note-t-on dans <i>Libération</i>. Il s’agit des Sci Synka (« Syn » comme Syndiély et « Ka » comme Karim, enfants de Wade) et Yakaar dont le capital est détenu majoritairement par Sindiély.<br />
Viviane Wade née Viviane Madeleine Vert et sa fille Aïda Sindiély Rose Wade auraient comparu devant Me Olivier Macron, notaire à Versailles, au 38 rue de l’Orangerie pour monter la Sci Yakaar. Elle est déclarée au greffe du Tribunal de Paris le 2 janvier 2005 sous le numéro 2328 par acte du 16 décembre 2004. Ce qui est troublant dans cette affaire est que les deux Sci n’ont jamais publié de bilan financier après des années d’existence. Une nébuleuse qui pourrait porter préjudice à la fille d’Abdoulaye Wade.<br />
Dans le cadre de la traque des biens supposés mal acquis par le régime de Wade, le gouvernement de Macky Sall avait porté plainte contre Karim Wade et X au niveau du Parquet de Paris. C’était pour cerner les contours du poids financier des Wade en France. Ce qui a abouti à la découverte des deux Sci liées à la famille de l’ancien Président du Sénégal, Abdoulaye Wade.<br />
<br />
<a class="gris2" href="http://www.afrik.com/presentation">Afrik.com</a> </div>
</span></span><br /></div>
Batotohttp://www.blogger.com/profile/04366347771437972332noreply@blogger.com0